Autopsie en direct -live
Datte: 18/12/2019,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
... replis du gland congestionné. Et maintenant, tu vas avoir droit au confiturage de couilles ! Mes lèvres s’avancent, gourmandes, viennent bisouiller les couilles et je t’offre une langue large et vicieuse, une bouche chaude et humide qui enveloppe et avale tes couilles douloureusement durcies. Amusant non, mon Chéri, ces boules qui roulent doucement sous ma langue ! Tes cuisses se sont durcies, ton bassin se soulève pour soulager la pression exercée. Tu as peur, peur qui je n’insiste trop, peur que je ne te fasse mal ? Mais tu aimes ça, cette peur et le plaisir mêlés. Je te sens impatient, tendu à l’extrême, je relâche tes bonbons et ma langue enveloppante et chaude ré-escalade une dernière fois ta bite : j’en ai envie autant que toi, je vais m’occuper de ce gland implorant. Je recueille au passage la petite goutte de jus d’amour et j’enfourne la queue dans ma bouche affamée. Tu accuses le coup, tes hanches se soulèvent. Tu es bien dans ma bouche, tu apprécies cette langue vicieuse qui caresse ton gland, les rugosités de mon palais qui griffe le champignon de ta bite, ma glotte qui bute contre ton gland. J’aime ça moi aussi, pour le plaisir que ça me donne, pour celui que tu ressens. Je m’en doutais, je savais qu’une fois dans ma bouche, tu appellerais mes fesses. Je te connais jusqu’au bout de ta queue. Mais qu’est-ce que tu trouves de si génial à me brouter le minou ? Je sais, tu me répondras que tu éprouves la même chose que moi quand je te suce. Sauf, que si j’aime te ...
... sucer, c’est autant pour le plaisir que cela me procure que pour celui que ça te donne, alors que tu sais que, moi, je n’aime pas particulièrement le cunnilingus. Pudeur, hygiène, crainte que tu ne mettes le nez dans un panier de senteurs mêlés, honte atavique de cette position dégradante, ta bouche sur mon sexe fait toujours naître en moi des craintes irraisonnées. Et puis, il y a que c’est ma chatte, ma chatte à moi, j’ai l’impression d’être plus nue que nue dans ces moments-là. Tu peux la caresser, la branler, la fouiller, l’explorer jusqu’au plus profond avec tes doigts, tu peux la pénétrer, la défoncer, l’exploser. Mais la voir, l’examiner, la détailler, non, c’est ma foune, mon mystère, ma féminité, mon secret. Ça me gène que tu me connaisses trop. Mais je te l’offre, je te la donne ma moule, j’accepte ce 69 qui me fait chienne, avec mes seins qui ballottent, mon cul découvert, mes fesses que tes mains écartent, ta langue qui cisèle les replis de ma fleur, s’engage dans ma grotte moite. J’accepte de subir cette honte délicieuse, et, illogique ou pas, j’y trouve même un plaisir. Paradoxal non ?! Et alors ! Oui, j’aime ta langue indiscrète et experte, j’aime ton nez planté entre ma chatte et mon cul, j’aime que tu me fasses mouiller alors que ma chatte endolorie, mon clito douloureux de tes caresses précédentes n’en peuvent plus de ces nouvelles débauches, j’aime m’exposer ainsi, j’aime m’exposer à toi, j’aime, parce que je t’aime… Et j’aime ta queue qui emplit ma bouche, ...