1. Autopsie en direct -live


    Datte: 18/12/2019, Catégories: fh, intermast, Oral 69, pénétratio,

    ... je ne ferai pas la fine bouche. La bite a replongé dans ma chatte, plus brutalement cette fois, ces va-et-vient s’accélèrent. Mon plaisir se développe, se confirme, Gérôme se tend, ses mains se crispent sur le drap, son cou se raidit et se tend vers le haut, son visage se crispe, sa queue bute au fond de mon vagin, s’affole dans mes chairs et je ressens au fond de moi ses spasmes libérateurs. Et merde, je glisse, je plonge ! Je voulais l’observer, le voir jouir ! Et niet, j’explose aussi ! Plus le temps de penser, d’observer. JE JOUIS Oh c’est bon – J’ai mal… mais c’est bon - Oh oui, trop bon ! - Putain le con !…. Waouh !!!! Court - C’était court – Mais bon ! Vas-y jouis mon Chéri, prends ton temps, déguste. Ne bouge plus, j’en peux plus ! Ne bouge plus, reste en moi, surtout ne ressors pas ! J’aime lorsqu’il reste en moi, après ! Sentir sa bite s’amollir, rétrécir. Tiens, les mecs nous parlent du mystère de notre sexe, mais le vrai mystère, c’est bien le leur ! C’est quand même incroyable, ce petit ridicule qui ballote entre leurs cuisses. Sur ce point, Gérôme mérite même une médaille : au repos, son truc est presque minuscule, un zizi de bébé. Heureusement que la première fois que je l’ai vu nu, il était bien excité : si je l’avais vu nu par accident, au repos, je serais partie en courant ! Et en riant ! Parce que bon, son bazar, tout rabougri, n’est pas appétissant ou stupéfiant, ou alors, à l’inverse ! Mais ...
    ... petit zizi deviendra grand dès qu’on lui prête attention ! C’est ça qui est stupéfiant ! Il est là le mystère ! Ok, on me parlera du corps caverneux, de l’afflux sanguin, d’accord, mais que ce petit bidule se transforme en corne raide, inflexible, c’est quand même étonnant. D’accord, je ne vous dirais pas que mon Gérôme devrait s’appeler Rocco, n’exagérons rien. Mais tout de même, il a rien à envier à la plupart des mecs. Belle pièce, dirait ma boulangère ! Quoiqu’il en soit, j’en fais mon quatre heures (et le reste) et j’en m’en porte bien. Mais ça m’amuse toujours de le sentir rétrécir dans ma chatte, jusqu’au moment où le petit ziguioui s’échappe, plouf, tout seul. Trop drôle ! Mais non, je ne me moque pas, je trouve cela… attendrissant ! Le mâle triomphant, inflexible (sic), redevient gamin un peu gêné … Ha, faut-il donc qu’on les aime ces sacrés bonshommes pour adorer leurs faiblesses et insuffisances ! Ploc ! Avec tout ça, pour un peu, j’en oubliais le mien. Le voilà qui me quitte, ron-ron contre mon sein, dans trois minutes, il dort ! Content, heureux, satisfait de lui (bon, il y a de quoi), repu. Pépère, savoure bien le moment, parce que c’est pas la peine de te re-pointer demain ni même après-demain (Monsieur a un rythme de deux jours, au bout de vingt ans, c’est pas si mal non ?). Mais là, mon p’tit gars, tu m’as explosée pour la semaine, alors repos ! Pour la semaine ? Possible que j’exagère un peu… 
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