1978
Datte: 20/12/2019,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
1978Un an après notre première rencontre, je revu Jurgeng. Nous sommes en juillet 1978. Je venais d avoir 16 ans. Beaucoup de choses s étaient passées entre temps. Mes parents avaient divorcé et, mon père parti, ma mère s était remise avec un autre homme qui avait autant de désir pour ma maman que pour moi, raison pour laquelle, peu de temps après cet été là, j allais quitter le foyer familial pour m installer avec un copain... Mais, tout ça, c est bien une toute autre histoire.Au camping, ma mère et son gros occupaient une de deux « chambres » de la tente de campagne. L´autre, moi et David, mon premier petit copain. Après quelques fortes disputes, ma mère avait accepté qu’il m accompagne et passe avec nous quelques jours de vacances. David avait 19 ans, à l'époque et très peu d expérience avec les filles. En fait, j avais passé une année entière à rêver de Jurgeng, de ses bras, de son corps, de son odeur...Les trois premiers jours au camping se sont passés normalement. La journée, on allait à la plage, les quatre. Le compagnon de ma mère -je vais l appeler T, c est plus simple-, était un vrai chaud. Il n arrêtait pas de tripoter ma mère en me lançant des clins d œil lubriques. Ma mère se laissait faire et, en entendant ses gémissements et petits cris de plaisir qui duraient une bonne partie de la nuit, j étais persuadée qu elle était aux anges.Le soir, David et moi nous allions en boîte. Je dois avouer que la présence de mon petit copain m encombrait plus qu autre chose. ...
... Je n avais qu une envie en tète : faire la fête, m amuser, connaître des étrangers. Mais lui, il ne pensait qu à me retrouver sur le matelas et s enfoncer en moi pour jouir en deux petites minutes. Qu'est-ce qu'il pouvait m'énerver à me demander lourdement : On y va ? J'ai envie de toi, ma puce ! Si j´étais de bonne humeur, nous sortions juste derrière la discothèque et, un peu à l´écart d autres couples qui se tripotaient indécemment, je lui sortait la quéquette et le branlais pour calmer sa fougue. Et on rentrait dans la boîte et il me laissait en paix quelques instants.Le cinquième jour, je vis débarquer Jurgeng et sa famille. Ma première réaction de frustration en le voyant accompagné de sa femme et ses enfants, ne tarda à devenir de joie et d excitation rien que de voir le regard qu’il avait porté sur moi : il me dévorait avec ses beaux jeux bleus ! Dès que nous eûmes l occasion d´être un peu seuls il me dit :Tu as coupé tes cheveux... Tu es encore plus belle !Et toi, tu as fait des progrès en français …Oui, je l ai étudié toute l'année... je sais dire...Dis-moi ce que tu sais dire...J'ai envie de toi !En fin de soirée, j étais en train de faire la vaisselle. David était resté sur notre parcelle en train de jouer aux cartes avec ma mère et T. Jurgeng est arrivé et s'ést mis à faire pareil à coté de moi. On n'était pas seuls et il me parla tout bas :Je vois que tu as un copain... Tu fais l amour avec lui ?Eh, oui... je fais l amour avec lui.Tu aimerais le faire avec moi ...