1978
Datte: 20/12/2019,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
... petit quart d heure avec cet homme, un vrai.Éjaculation, pas encore, s il te plait !Ma petite Sandra, tu peux continuer ton « jouis »... Je voulais dire que tu es magnifique, que tu sens très bon, que ton con est comme un four...Tout ce discours sans arrêter un seul instant de manœuvrer, avec une cadence croissante, sa magnifique perceuse allemande dans mon minou qui, reconnaissant, ne cessait d'exhaler mille émanations gluantes, des effluves de sexe chaud qui tapissaient les murs de la buanderie.Ouiiiii ! Ouiiiiiii ! Encoooore !Ouah ! Tu m'as mordu trop fort !Excuse ! Excuse ! Aaaaahhhh ! S'il te plait, ne t'arrête pas !Si parmi mes lectrices, il y en a une qui a la chance d' être pluri orgasmique, elle saura que rien au monde peut se comparer à cette jouissance. Les orgasmes arrivent un après l' autre, comme un moteur turbo qui se propulse en atteindre une certaine vitesse et qui nous laisse collées au siège. On ne peut faire que se laisser aller et profiter de cette excitation électrique qui nous envahisse, dès la racine de nos cheveux au dernier ongle de nos orteils...Je me suis laissée tomber en avant, épuisée, le haut de mon corps contre la surface de la machine à laver. Sa verge encore enfoncée dans moi, dure comme une mèche de titane, me brûlait les entrailles. Ce fut alors, qu'il sortit de moi et, avant que je puisse protester de cet abandon, je sentis ses mains écarter mes fesses et sa langue me caresser l'anus :Dieux, c est bon !J'adore ton cul, ma petite... Me ...
... laisse-tu te prendre par ton …Je me suis retournée pour le regarder et je crois que ce qu'il vit dans mes yeux lui fit comprendre que j'étais prête car il se leva, cracha de la salive sur sa queue et plaça son gland à l entrée de ma rondelle :Je n'ai jamais... Balbutiai-je, avec un filet de voix.Tranquille... Je ne te ferai pas mal... Tu en as envie ?Oui... Tu peux me faire tout, Jurgeng. Ma déesse... Je suis fou de toi !La douleur fut intense, comme si mon anus se déchirait. Mais, ce soir là, le plaisir était au rendez-vous et je ne tardai pas à ressentir une sensation de plénitude. Lui, il avançait dans moi, lentement, jusqu'au fond. Il y resta un petit moment pour que mon sphincter se dilate suffisamment pour s'adapter à la barre de chaire qui le traversait. Je sentais sa respiration s’accélérer progressivement. Je pouvais, même, sentir vibrer sa queue dans moi. Alors, il me prit les bras par mes poignées et les tira vers lui, faisant que ma poitrine se soulève immédiatement. Et il recommença sa danse infernale de vas-et-vient, de plus en plus profonds, de plus en plus brutaux... On était deux bêtes lubriques, deux fauves affamés de sexe. Lui, le mâle alpha ; moi, sa femelle soumise.Jaaa ! Jaaaaaaa ! Cum, cum, cuuuummmm !Peut-être le temps passé depuis cet incroyable moment a faussé la précision de mon souvenir, mais je vous promet que quand il avait éjaculé dans mon rectum, j'avais eu l'impression de sentir sa lave inonder mes entrailles. Je n'avais pas joui, mais je me ...