1. Un réveillon très révélateur (1)


    Datte: 20/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... t’aimer depuis le premier jour de notre rencontre. — Je ne peux pas te quitter et tu le sais. Je t’aime tellement que ça me ferait trop mal ; j’en mourrai sans doute. Bonne année, cocu et la santé surtout… — Olivier, s’il te plait, essaye de comprendre… — De comprendre ? Je ne sais pas mais peux te poser une question ? — Je répondrai à toutes tes questions, je te promets de ne plus rien te cacher. — Si je comprends bien, cette soirée était parfaitement organisée et tu savais qu’on partait pour une partouze, tout comme Katia et Patrick. wnbwhhfg — Oui, Marie et Jeanne voulaient passer leur première nuit de l’année ensemble et moi j’avais envie de me faire Jocelyn et Patrick en même temps. Mais je n’ai pas voulu que tu penses que ça puisse tourner de cette façon. — C’est évident ! J’aurais refusé, tu crois quoi ?! — C’est pour ça que Katia t’a dit qu’aucune partouze n’était prévue et qu’on a tous soigneusement évité de parler de cul durant l’apéro et le dîner. Il fallait que tu te sentes bien. — Vous vous êtes bien foutus de moi… Et Katia ? Elle voulait quoi ? Je ne faisais pas vraiment partie de ses plans ; je me trompe ? — Non, c’est vrai. Elle avait juste envie d’une bellegrosse bite et c’est pour ça qu’on a invité Fabrice. Par contre, elle s’est aussi proposée pour t’inclure dans ses jeux parce que ça ne lui plaisait pas que tu restes laissé pour compte. Je suis contente qu’elle ait tenue parole ; vous étiez vraiment mignons ce matin. — Alors elle s’est forcée pour que je ...
    ... ne me sente pas trop frustré. On a fait l’amour par compassion. — Je ne crois pas qu’elle le regrette et tu y as peut-être trouvé aussi un peu ton compte. — Très honnêtement, j’ai pris beaucoup de plaisir à lui faire l’amour mais si ce que tu m’as dit est vrai alors ce n’était pas nécessaire. C’est même humiliant, en fait. J’ai pris un plaisir immense à te voir baiser avec Patrick et Jo et avec Fabrice. Je suis bien obligé de reconnaître que ça m’excite… Je suis très content d’avoir été cocu hier soir et ce matin ; ce qui me fait le plus mal, c’est de l’avoir été quatre ans sans le savoir mais je te pardonne, je pardonne à Katia et je leur pardonne à tous car c’est le propre du cocu que de pardonner. Ce n’est d’ailleurs bon qu’à ça, un cocu ! Je me suis mis à pleurer sincèrement, Véronique m’a serré fort dans ses bras et je l’ai revue dans ceux des autres, de Jocelyn, de Fabrice ou de Patrick. Malgré la blessure que je ressentais je me suis mis à bander et, comme elle l’a remarqué, elle m’a directement emmené dans une chambre. Nous avons traversé, sans nous arrêter, le salon où nos amis attendaient qu’on ait fini de nous expliquer et nous nous sommes retrouvés, quelques instants plus tard, dans le lit qui avait servi à tous ses ébats adultères de ce nouvel an. J’étais fou de désir, de vexation et animé par l’envie de la reconquérir. Je ne me suis pas embarrassé de préliminaires épuisants et je l’ai pénétrée tout de suite. Il n’y avait pas de violence non plus dans mon action ...