1. MERCREDI APRÈS-MIDI PARTIE 2


    Datte: 22/12/2019, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe

    PARTIE 2Au fur et à mesure que nous avançons, nos vessies se font plus lourdes. L’esprit commande au corps, nous l’avons réellement compris au fil des semaines, puisqu’aujourd’hui nous arrivons à remplir notre vessie de litres d’eau et à la maîtriser jusqu’à l’après-midi. Autrefois, avant, nous nous serions pissé dessus dans l’heure qui aurait suivi. Toute expérience est bonne à prendre. Même celle-ci.Pour évoquer ce qui constitue un passage obligé pour nous tous les mercredis, il faut sans doute que je remonte au premier mercredi où nous sommes parties ensemble en direction de la ville. N’ayant aucun devoir, au travail à faire, et nous ennuyant, nous avions décidé d’aller soit dans un café soit au cinéma.Le Destin en a décidé autrement.Ce mercredi après-midi là , nous nous sommes soudain rendu compte l’une comme l’autre que nous avions la vessie gonflée. Ça nous a pris comme ça. Nous ne nous étions pas soulagées avant de partir, tout simplement parce qu’à ce moment, nous n’en éprouvions pas le besoin physiologique. En quelques minutes tout peut changer.— J’ai très envie de faire pipi, a gémi Caroline en appuyant sur son ventre.— Et moi aussi.Pour un garçon c’est facile. Contre un arbre, d’une manière plus ou moins discrète. Pour une fille. Il fallait trouver un endroit où s’accroupir et se vider, après avoir descendu ou remonté nos vêtements. Et on ne voyait rien autour qui puisse nous permettre de nous isoler. A gauche une série de pavillons, à droite deux entreprises. A ...
    ... moins de se précipiter et de leur demander si on pouvait utiliser leurs toilettes. En même temps, ça devenait tellement urgent, pour moi en tout cas, que je ne savais pas si je pourrais traverser la route, la cour, tenir le temps de la discussion. Et je ne voulais pas non plus me pisser dessus.— Là, regarde s’est écrié ce jour-là Caroline.Un peu après un pavillon il y avait un chemin de terre, et quelque arbres, alignés les uns à côté des autres qui nous dissimuleraient de la route et de son passage constant. À nous le pipi tranquille.On s’est précipitées, et on a trouvé un terrain en jachère. De l’herbe. Ça nous chatouillerait peut-être le kiki mais on serait isolées.J’ai descendu mon jean, tiré ma culotte à mes genoux et je me suis accroupie. J’ai poussé les deux pièces de tissu quasiment à mes chevilles pour ne pas les tremper. Caro était elle en jupe, elle a roulé celle-ci à sa taille, et amené son string à sa cheville.On s’est mise à pisser avec un immense sentiment de soulagement. On était vraiment pleines. Les premiers jets ont été brefs, les suivants beaucoup plus copieux.C’est alors qu’on a compris notre bévue.Dans notre précipitation on n’avait suffisamment regardé autour de nous.Le terrain est une sorte d’avancée face à une propriété étagée, car adossée à la colline qui démarrait au pied du terrain en friches. Un grand jardin soigneusement entretenu, et une belle maison nous dominaient.Installé dans sa véranda, qui longeait toute la maison, un homme nous matait en ...
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