1. MERCREDI APRÈS-MIDI PARTIE 2


    Datte: 22/12/2019, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe

    ... plongée, se régalant de la profusion de détails que lui permettait sa position. Il était grand, massif, à la Orson Welles, avec des lunettes de soleil qui masquaient son visage, et qu’il a enlevées par la suite, laissant voir un regard fixe, qui ne cillait pas, et s’accrochait à nous.Tout en nous regardant, il masturbait une queue comme je n’avais jamais encore vu. Quelque chose de hors-normes. Répugnant ou fascinant selon les points de vue. Personnellement, et Caroline aussi, je le sentais bien, je penchais plutôt pour la fascination. Une queue très longue, je n’osais même pas risquer un nombre de centimètres, épaisse malgré tout. Je n’osais imaginer ce que cela pouvait donner à l’intérieur d’une femme. Il était certainement impossible de la rentrer entièrement. Un vagin de fille est certes élastique mais tout à ses limites.J’avais été impressionnée, j’ose l’avouer, par son éjaculation. Il avait balancé de copieux traits de sperme dans les airs, certains maculant le verre de la véranda. On aurait dit que ça n’allait jamais finir.On avait fini d’uriner et on s’était éloignées, en même temps que lui se retirait de la véranda.Le soir, en rentrant, comme on le faisait souvent, on s’était caressées mutuellement, on adorait ça, mais je savais bien que, l’une comme l’autre, si on avait joui si facilement et plusieurs fois, c’était parce qu’on repensait à cette queue surdimensionnée, qui nous fascinait, et qu’on imaginait ce qu’on pourrait faire avec.Ç’avait été le lundi suivant ...
    ... que Caroline avait clairement formulé ce qui nous taraudait :— J’ai tellement envie de revoir sa grosse queue… Mercredi prochain, on ira pisser dans le pré…C’était moi qui avait suggéré qu’on fasse d’un accident un spectacle, qu’on se remplisse d’eau et qu’on fasse durer les choses plus longtemps, pour le fasciner, et voir sa queue immense.On arrive à l’orée du chemin. Le champ. Une surprise nous attend. Il a passé un coup de tondeuse. Il verra mieux nos chattes.Il nous guettait sans doute. Dès que nous arrivons, il surgit dans la véranda, massif. Il n’a pas encore exhibé sa bite.On laisse parler notre instinct , et on arrive à chaque fois à faire un véritable show.Je défais la ceinture qui tient le pantalon de Caroline à sa taille. Je me tiens sur le côté pour qu’il puisse bien voir. Dessous, Caro a un slip rouge cerise, tâché par les gouttes de mouille qui sont sorties d’elle quand elle a sucé la queue du vendeur de voiture. Je descendant la culotte, révélant sa chatte aux lèvres gonflées par l’excitation, son clito qui darde, autre marque de son excitation, et le triangle roux qui attire l’œil.Je l’observe du coin de l’œil. Il a extirpé son membre encore tout mou, mais même au repos d’une taille impressionnante. Il commence à le frotter, pendant que j’appuie de l’index sur le clito de Caroline. Elle se tord en gémissant, et ce n’est pas du chiqué. Perdant le contrôle, debout, elle lâche un trait de pipi, puis encore un autre.Je roule ma robe à ma taille. Dessous, j’ai un ...