Black Angel Vs Papillon De Nuit (1) - Histoires de Sexe

Black Angel Vs Papillon De Nuit (1)

... lui faire peur pourrait être une très bonne idée. Mais avant que je n’aie pu faire le moindre geste, elle me fonça dessus à la vitesse de l’éclair et me prit le petit sac accroché à ma ceinture sans que je ressente quoi que ce soit. Elle se retourna vers moi et, comme pour me provoquer, elle m’envoya un baiser avec sa main en souriant avant de prendre la fuite en direction des sirènes de police qui se faisaient entendre au loin. Je ne pouvais pas me permettre de rester ici ou de me lancer à sa poursuite, alors je décidai de prendre la fuite afin de reprendre mes affaires et rentrer chez moi, tandis que je me fis la promesse de faire la peau à cette garce si on devait à nouveau se rencontrer. Le lendemain soir, j’avais été invitée à une fête par une de mes amies. Pour cela, j’ai mis un jean, chemisier, baskets. La fête battait son plein, je m’éclatais comme une folle. Après avoir enchaîné quelques danses très mouvementées, seule ou accompagnée, je suis allée m’asseoir et boire un soda bien frais afin de me désaltérer ; j’ai rapidement été abordée par deux garçons très mignons. Ils m’entouraient et j’étais un peu obligée de faire la girouette pour pouvoir leur parler. — Dis donc, on t’a vu bouger : tu dois avoir soif ! dit l’un. — Oui, une belle plante telle que toi doit beaucoup boire pour rester belle, tu ne crois pas ? ajouta le second. — Oui, vous avez raison, d’autant plus qu’il fait super chaud, approuvai-je en portant le verre à mes lèvres. Tout à coup, le verre me fut ...

... arraché des mains. — Elle ne boira pas une goutte de ta merde ! gronda une voix féminine alors que le contenu de mon verre était jeté au visage d’un des garçons avec qui je discutais. Sous l’effet de la surprise, nous nous sommes levés tous trois d’un bond. Une fille se tenait face à moi. Brune aux cheveux assez longs, habillée d’un short en jean bleu, d’un chemisier argenté, de ballerines et de collants. Tout le monde s’était arrêté de danser pour nous regarder ; je me sentais assez gênée. — Non, mais elle est tarée, cette gonzesse, ou quoi !? Qu’est-ce qu’il lui prend ? gronda un des garçons. — Je ne suis pas tarée ; c’est vous qui êtes pathétiques, les gars ! Mettre une saloperie dans le verre d’une nana dans le seul but de pouvoir abuser d’elle par la suite, c’est tout ce que vous trouvez à faire ? Vous ne savez donc pas draguer normalement ? — Hé, attendez une minute ; qu’est-ce qui s’est passé au juste ? demandai-je à cette fille. — Il se passe que j’ai surpris l’un de ces deux crétins à mettre quelque chose dans votre verre, Mademoiselle. Je pense que vous savez ce qu’ils avaient en tête, pas vrai ? me répondit-elle. — Fous-nous la paix, Océane, et va jouer ailleurs ! ordonna le premier. — C’est quoi ton problème ? Tu n’es pas content parce que je t’ai grillé auprès de toutes les filles de la soirée ? Si ça te fait plaisir, on peut aller régler ça dehors ! lui dit-elle en plongeant ses yeux dans les siens avec une lueur de défi dans le regard. — Quand tu veux, crétine ! ...