Black Angel Vs Papillon De Nuit (1)
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
Lesbienne
... — Non, arrête : on ne frappe pas une femme. C’est bon, on se casse ! lança son pote. Je les regardai partir et la fête reprit son cours. Je me sentais vraiment idiote de ne pas avoir remarqué leur manège. Si cette fille n’avait pas été là, j’aurais bu le contenu de mon verre avec ce que l’un de ces deux gars avait mis dedans, et penser à la suite m’a fait froid dans le dos. En tout cas, elle a eu vraiment beaucoup de cran, il faut le reconnaître. Lorsque j’ai tourné la tête dans sa direction afin de la remercier, j’ai constaté qu’elle me regardait avec une grande stupéfaction. — Il y a un problème ? m’inquiétai-je. — Hein ? Oh, non, non, tout va bien. Ne t’en fais pas, m’assura-t-elle en souriant. Et toi, est-ce que ça va ? — Oui. En tout cas, je vous remercie beaucoup, j’ai rien vu venir. — Oh, t’as pas à me remercier ; c’est un coup classique, mais heureusement que je m’en suis aperçue. Il est normal de s’entraider entre femmes. — Vous avez raison. — Tu sais, on peut se tutoyer, ça coûte rien. — Oui, pardon. Avec plaisir. — Je m’appelle Océane ; et toi ? — Je m’appelle Fran. Je peux t’offrir un verre pour te remercier ? — Si tu ne mets rien dedans, alors volontiers ! plaisanta-t-elle. sgpsvvnh Et c’est ainsi que j’ai fait la connaissance de ma sauveuse, fille d’une scientifique renommée, bien que je n’aie jamais entendu parler de sa mère, étant donné que la science n’est pas du tout mon fort, et elle n’a jamais connu son père. Je lui ai appris que je suis Vietnamienne ...
... et que mes parents tiennent une petite entreprise de restauration rapide. Je lui ai également dit que malgré le fait que je les aide au service de temps à autre, j’ai mon studio, donc mon indépendance. Nous avons très vite sympathisé, et rapidement le sujet des mecs est arrivé sur le tapis. Je lui ai déclaré avoir eu plusieurs relations par-ci par-là, mais rien de bien sérieux. De fil en aiguille, au cours de la soirée, nous avons échangé nos numéros de téléphone. Hélas, la nuit était déjà très avancée et je me sentais éreintée. Je décidai de rentrer chez moi pour goûter à un gros dodo bien mérité. Alors que j’enfilais ma veste en jean, Océane s’est proposée pour me raccompagner, ce que j’ai accepté avec plaisir. Durant le trajet, je me rendais compte que cette fille respirait la joie de vivre. Lorsque nous sommes arrivées près de mon appartement, elle s’arrêta devant une porte. — Tu vis ici ? lui demandai-je. — Oui. En fait, c’est toi qui m’a raccompagnée. — Attends, c’est incroyable : je vis juste là ! l’informai-je en désignant la seule porte à l’autre extrémité du couloir. — Tu plaisantes ? — Pas du tout ! Regarde. Joignant le geste à la parole, je sortis les clés de ma veste, allai ouvrir la porte et rentrai sous son air subjugué. — La vache ! S’exclama-t-elle en me rejoignant. Mais comment ça se fait que je ne t’aie jamais vue ? — Je ne suis ici que depuis un mois, et je suis assez discrète comme fille ; c’est peut être pour ça. — Mais alors, ça veut dire qu’on est ...