1. En forme d'adieu


    Datte: 23/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour, Mature,

    Ici à l'URSSAFF nous travaillons souvent en équipe. En l'espèce en binôme. Cette dernière année j'eus en coéquipière une certaine Magalie. Celle-ci était précédée d'une mauvaise réputation. Elle s'était peu ou prou fâchée avec tout le monde. Il était de notoriété qu'elle couchait avec un ponte de la direction. Elle avait insisté pour bosser avec moi. On l'avait assuré que j'étais le plus jeune et du genre bonne pâte. Elle aurait un ascendant sur moi sans difficulté. Je dois concéder à ma grande honte que je renâclais au conflit et pour cela m'écrasais volontiers. J'usais souvent du concept : "Acheter la paix sociale." Je faisais ainsi dans mon couple. Tout glissait sur moi.Magalie affichait cinquante ans au compteur au regard desquels mes trente pesait si peu. Elle avait du être une fort jolie. Je ne sais si je devais attribuer au vice les rides qui abîmaient à présent son visage qu'elle fardait outrageusement. Elle avait la manie au cours du chemin d'ajouter toujours du rouge aux lèvres. Je me disais intérieurement qu'elle me déshonorait et qu'on me devait croire accompagné d'une sorcière ou d'une pute. A mon grand soulagement je pus voir qu'elle me dédaignait comme amant. Non pas que je fus vilain mais je savais que j'avais le style jouvenceau. Rien de vraiment viril. Bref je n'étais pas son type. Ainsi devînmes-nous copains.Ce fut d'autant plus facile qu'elle attendait avant la fin de l'année une promotion. Ce serait sa consécration. Elle monterait à Paris avec de sacré ...
    ... émoluments à la clef. Elle ne me cacha pas que dessous œuvrait son mentor et amant. Pour faire valoir son pouvoir elle me dit qu'elle pourrait à cet égard me pistonner si cela me chantait. je lui dis piteux que ma femme aimait par trop la région et qu'il serait difficile de la résoudre à changer. Magalie haussa des épaules. Elle me moquait souvent en disant que je n'étais qu'un Toutou pour dames. Elle m'avait vite catalogué. Elle eût voulut en mon intérêt que j'eus davantage d'ambition au lieu de me contenter de ce statut médiocre.Dans le boulot elle était plutôt du genre feignasse. Parvenus dans l’entreprise elle faisait sentir d'emblée qu’elle menait les opérations et imposait sa férule. On ne devait rendre compte qu'à elle. Pour le reste et les menus opérations elle m'en abandonnait le labeur. Elle préférait se réfugier dans la voiture pour cloper et jouer avec son iphone. Cela me convenait. Avec mes anciens équipiers je m'étais résolu à ce rôle subalterne voire de larbin. Je n'avais rien à redire de cette équipière hormis qu'une ou deux fois je fus choqué qu’elle draguât devant moi un type. Qu'elle alla même au-delà. Il était strictement interdit au titre de la déontologie d'aller fricoter avec le public.La première fois ce fut avec un ouvrier qui passait le jet d'eau dans le parking où nous rangeâmes la voiture. Elle lui demanda où se trouvait les bureaux administratifs. A son regard et timbre de voix je devinais qu'elle lui faisait un numéro de séduction. Il est vrai que ...
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