1. En forme d'adieu


    Datte: 23/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour, Mature,

    ... sa jupe de cuir, ses bas et ses escarpins faisaient quelque effet. Son côté garce n'échappait pas aux notoires vicieux et cochons. La proie de ce jour était un jeune beau gosse de type maghrébin. Au début décontenancé et impressionné par cette bourgeoise il sut peu après qu'il pourrait s'amuser. Elle le lui laissait assez entendre. Ce fut par hasard que j'en sus la suite.Comme d'habitude je l’abandonnais dans la voiture. Au bout de vingt minutes avec une envie irrépressible de fumer je compris que j'avais oublié le paquet dans la boîte à gants. Au bout du parking je vis que la voiture avait été déplacée plus loin en un recoin sombre garni de poubelles. M'approchant je vis deux formes s'agiter. Je sursautais. J'entrevis sa chevelure brune et les épaules puissantes du jeune. Ils faisaient tous deux des cochonneries. Je rebroussais chemin penaud. J'étais davantage choqué qu'elle contrevint à nos règles plutôt qu’elle allât maculer de sperme mes sièges d'auto. Que ne se fussent-ils éloignés. On les pouvait voir alentour. A cette circonstance je gagnais à ne pas fumer la matinée.Quand je vins la rejoindre peu après midi la garce fumait avec son air d'innocence. Rien ne laissait transparaître dans ses traits et son maintien qu'elle eût subi les assauts impétueux d'un mâle. Seul un grand sourire attestait de son humeur folâtre. Elle me dit qu’elle devait cela au beau soleil qui inondait maintenant le parking. Elle me dit qu'elle avait une faim de loup. Un peu chagrin je lui dis que ...
    ... les chiffes m'avaient un peu abruti. En fait j’avais envie de lui dire que quitte à baiser elle eût été bien avisée d'emmener la prochaine fois, la voiture plus loin. Bien évidemment gardant cela pour moi je fus parfait lâche et faux cul. Je vis cependant qu’elle avait un bas filé.Il est vraisemblable qu'à mon insu elle eût usé de même façon pour se taper un mec. Je n'oubliais pas toujours mes cigarettes. Puis nous communiquions par textos. Je n’allais pas la rejoindre toujours au cours d'une pause. Tacitement nous demeurions chacun en notre bulle. Elle m'avoua que j'étais le collaborateur parfait. Point trop bavard ni envahissant. Ma bonne réputation n'était point donc surfaite. L'autre fois où il fut avéré qu’elle fit sa salope ce fut au su de tous dont moi. Il était manifeste que le chef comptable de la boîte avait été ébahi par ses jambes qu’elle avait croisé haut. On lui voyait la naissance des bas. C'en était indécent. La colère me gagnait.Ce fut une secrétaire qui m'alerta. Celle-ci aussi était du genre garce par trop apprêtée pour cela.M'apportant un café elle me lança : "He ben vous devez pas vous ennuyer avec votre collègue." Je sursautais. A ma mine ahurie elle ajouta : "Depuis une heure elle squatte le bureau du comptable. Celui-ci a tiré ses rideaux. On connaît la chanson." Ce monsieur devait user ainsi quand il s'occupait du personnel féminin. Cette secrétaire trop bien savoir ce qui s'y déroulait. J'étais offusqué que ma collègue se fut donnée en spectacle. Il ...