1. Délires lubriques assumés et jousissif


    Datte: 24/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bas. Chaque pièce est équipée d’un micro et enregistre leurs paroles. Je m’amuse pendant une demi-heure à les regarder, impatientes excitées, c’est impressionnant les différences de caractère. On y est, tout le monde est installée, je résume : Julie la délurée, sans limites et assumée est assise, impatiente, elle trépigne, habillée comme prévu casual. Jeans moulant, et haut rose, queue de cheval et Stan Smith Isabelle la cougar, qui a du temps à rattraper est assise, le regard fixé vers le sol, les jambes croisées, on dirait qu’elle regrette, et ne semble pas à l’aise avec ce jeans qui ne lui va pas, elle fait vulgaire. Assya la timide, dont je suis réellement surpris de sa présence, tourne en rond, elle se demande ce qui va lui arriver, vêtue d’une mini-jupe, qui laisse entrevoir la lisères de ses bas, ses talons aiguille galbe magnifiquement ses fesses, un chignon, un léger maquillage et le chemiser finissent la tenue. Et Marie ma préférée, qui se découvre un peu plus chaque fois, arrivée la dernière entre et s’assoie instantanément, un gilet en maille qui ne cache rien de sa robe, plutôt courte, bien décolletée, collant et talons mi haut. Je m’assois devant toutes les vitres sans teint : « Lève-toi, ne bouge pas, les mains dans le dos, tu te sens comment ? » je vous cache pas, j’ai absolument rien compris à leur réponse puisque toutes leur voies ce sont mêlées, quelques questions ciblées me permettent d’être sûr de leur éloigner de l’esprit qu’elles puissent être ...
    ... plusieurs. On va passer aux choses sérieuses, elles connaissent toutes mes délires bizarres, mais savent aussi que je suis reconnaissant de ce que je leur demande. « Enlève tes chaussures, passe les dans la porte ! » « Bien maintenant fait glisser le haut ! » C’est une vue que j’apprécie, Julie avec un soutif rose avec des dentelles brunes, Isabelle, une brassière relève sein, ses pointes déjà fièrement dressée et son visage s’est éclairci, Assya soutif noir standard, et, Marie, soutif sans bretelles rouge avec des finitions dentelées. « Le bas maintenant, et passe tes vêtements dans la porte » J’admire désormais, Julie en string ficelle assortie au soutif, et des sokettes rose, Isabelle, un tanga noir, Assya, un boxer semi transparent puisque tout en dentelle, en bas noir, et Marie avec une paire de collants noir et en dessous un shorty en dentelle assortir au soutif. « Tourne sur toi-même lentement » j’observe « Tourne toi, face à la glace, relève tête soit fier et expose ta poitrine, dos à la glace, tend bien ton cul » Toute jouent le jeu, chacune est maintenant détendue, et veulent passer à la suite. « Dit moi sensuellement le pire truc, le plus douloureux que tu puisses imaginer subir », encore une fois je n’ai rien entendu, mais j’écouterais ça plus tard « Très bien, maintenant le plus hard, le plus dépravant » on verra plus tard. « Enlève ton soutif, et remue ta poitrine, de haut en bas, qu’elle claque fort, saute à pied joint s’il le faut pendant 30 secondes » je sais ...
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