1. Délires lubriques assumés et jousissif


    Datte: 24/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qu’Isabelle avec sa poitrine qui, du a son âge, pend plus va rapidement trouver ça douloureux. Effectivement elle souffre, mais ne s’arrête pas. « Enlève tout le reste, fout toi à poil, donne-moi tout, et ne traîne pas » Je me lève, ramasse les dessous de chacune, en vérifie l’état, et sans exception, toutes sont humide. « Je n’ai pas apprécié tes réponses jusque-là, on va changer, je pose une question, je propose deux réponse, et tu réponds 1 ou 2 ! Qu’est ce qui t’excite ? D’obéir à l’aveugle ou de te voir nue entrain de lâche prise » Julie, 1 ; Isabelle 2, Assya, 1&2 ; Marie 1. Je redistribue les dessous, mais les inverse au hasard, en prenant le temps de déchirer, au niveau de l’entrejambe, le collant de Marie. « Ouvre le sac, sors ce qui se trouve au-dessus, et colle le au mur à environ un mètre de haut » Chacune sors le gode de 18 cm, certaines sont heureuse, d’autre dubitative. « À genoux et suce le, tu as 30 secondes pour l’avaler tout entier » Je vous laisse deviner, Julie l’a avalé de suite, Isabelle a quelques difficultés mais y arrive rapidement. Assya et Marie quant à elles ont du mal, elles y mettent du cœur à l’ouvrage mais malgré toute leur bonne volonté, elles n’y arrivent pas l’enfoncer sans avoir des hauts le cœur. « Relève toi, frotte ta chatte sur le gode, ne te l’enfonce pas » « Agenouille toi, et enfonce le, le plus loin possible dans ta gueule et reste planté dessus. » Leur visage se déforme, j’observe, j’ai passé ma main dans le pantalon, elles ...
    ... m’excitent, autant individuellement mais aussi d’avoir toutes ses filles ensemble se donner pour moi « Lève-toi, retourne toi, enfonce toi le dans la chatte, et abandonne toi dessus jusqu’à ce que je te stoppe, je veux rien entendre » Après quelques dizaines de secondes, les coups de reins qu’elles s’envoient sont de plus en plus fort, les yeux commence à se lever, les respirations plus profondes, je passe plus de temps à regarder Marie que les autre, elle qui m’a avoué ne jamais utiliser de jouets, elle s’y prend bien, et commence à y prendre du plaisir visiblement. Quelques petits gémissements commence a s’entendre, surtout chez Julie, qui à l’image de son ouverture d’esprit, elle est très expressive. Je lui jette le bas qu’il y a sur ses habits, c’est celui d’Isabelle, elle comprend qu’elle doit se l’enfiler dans la bouche pour étouffer son bruit, elle ne semble pas percuter que ce n’est pas le sien. Au fur et à mesure je distribue les dessous, Isabelle récupère le string ficelle, Assya, le shorty de Marie, et Marie, le boxer d’Assya. Assya n’a pas fait attention, elle a les yeux clos et elle remue sur le gode, Isabelle quant à elle a vu que ce n’était pas le sien, en fixant la glace, elle jette un regard chaud et langoureux, et lèche tout du long le string et se l’enfile. Marie a vu aussi que ce n’était pas le sien, elle joue le jeu se le met, mais laisse la partie ou le jus d’Assya à commencer à couler en dehors de la bouche. « Ferme les yeux, jouit si tu le veux, mais sâche ...
«1...345...12»