Viens là, sal*** que je te troue le c**
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
fh,
facial,
Oral
pénétratio,
coprolalie,
Il y a bien longtemps de cela, lors d’une soirée un peu arrosée avec des amies, nous avions partagé nos points de vue sur le sexe. On avait toutes alors moins de vingt-cinq ans, un peu chaud ce jour-là et les langues se sont libérées. Nous avons échangé longuement nos aventures, nos coups d’un soir, nos baises mémorables comme les catastrophiques. Chacune d’entre nous y est allée de son laïus sur un gars qui sentait trop mauvais pour le déshabiller, celui qui en avait une vraiment trop petite… Nous avons toutes eu des mauvaises surprises en passant à l’acte avec un inconnu. Nous avons bien ri. Nous avons parlé de nos fantasmes aussi, sans tabou. Virginie avouait enfin qu’elle voulait connaître une femme, Corinne osa dire son envie d’une histoire à trois « et aucun dans la bouche », nous a-t-elle précisé. Nous avions rigolé à cette précision et à sa spontanéité. Il y avait Lydie qui rêvait, elle, d’une plage de sable blanc au soleil couchant. Est arrivé mon tour. Mon fantasme était loin d’une plage paradisiaque avec un acteur beau comme un Apollon. Non, j’étais plus triviale, plus terre-à-terre. Je voulais, ne serait-ce que pour une fois, être une pute, me prostituer, vendre mon corps et le plaisir que je peux procurer contre un peu d’argent. Les rires furent plus gênés, les remarques moins coquines. J’étais excitée, moi, à l’idée de n’être qu’un objet sexuel pour un homme tout en ayant tout ce pouvoir sur eux. Ma disponibilité et mon sex-appeal devaient suffire à les ...
... transformer en animaux. Mais en vendant mon corps, c’était moi qui décidais quand et comment. J’avais le pouvoir de les laisser exprimer leurs envies. Ou non ! Cette domination était le cœur de tout, me semblait-il et peut-être est-ce pour cela que j’aime tant la fellation ? Je n’ai jamais osé franchir le pas. J’ai beaucoup de respect pour celles qui, librement, vendent une prestation sexuelle. Je ne m’y suis jamais résolue. J’ai toutefois trouvé une alternative qui me permet de trouver certaines sensations qui m’avaient donné envie de me prostituer. Je voulais être un objet sexuel pour un homme le temps d’un coït car c’était, selon moi, le meilleur moyen de prendre du plaisir. J’avais trouvé le moyen d’être cet objet sexuel bien au-delà de toutes les coquineries dont je suis capable habituellement. Il y a quelques semaines, je suis sortie en boîte de nuit avec quelques amies. Ce n’étaient ni les amies ni la boîte de nuit qui m’intéressaient. J’avais chaud aux fesses et après quelques semaines d’abstinence, je comptais bien rompre le cercle vicieux ce soir-là. Après tout, je ne suis pas toujours très regardante, je ne fais pas de pub pour les sites de rencontre, moi. Ai-je besoin de vous raconter comment j’ai levé le premier imbécile venu ? Non, ce qui est intéressant, c’est ce qui a suivi lors du retour dans mon appartement. À peine la porte de l’ascenseur refermée, je me suis jetée sur lui. Une main sous la chemine, l’autre sur son entre-jambe, je vérifiais que la queue que j’avais ...