1. Viens là, sal*** que je te troue le c**


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, facial, Oral pénétratio, coprolalie,

    ... vraie chienne. C’était sorti sans même que je m’en aperçoive. Voilà un peu la teneur de nos échanges verbaux et je commençais à espérer sérieusement qu’il se retienne d’éjaculer. J’en voulais plus. Je crois qu’il a très vite oublié qu’il avait une relation sexuelle avec une femme et non seulement un vagin. Je n’allais pas lui en vouloir, lui qui n’était qu’un sextoy avec un homme au bout. Je n’étais pour lui qu’un vagin, un cul à agripper fermement pour qu’il se soulage. Le besoin était réciproque. Ce n’était pas la première fois pour moi, c’est souvent comme ça avec les aventures d’un soir, mais lui parler de cette façon me faisait mouiller. Je rajoutais des « défonce-moi encore », des « je suis ta pute, ta chienne », dès que je le pouvais. — Je vais te jouir à la gueule.— Oh oui, mais pas tout de suite. Je ne sens toujours pas ta queue dans ma chatte. Un peu de provocation gratuite et mensongère pour jouer encore un peu avec lui. Au moment où il m’a dit qu’il allait jouir sur mon visage – encore un biberonné au porno sur internet – il avait posé son pouce sur mon anus et commençait tout simplement à me préparer à la sodomie. Je voulais bien – qu’est-ce que je ne veux pas en matière de sexe – mais pas tout de suite. — Tu auras mon cul quand tu m’auras bien sautée. Saute-moi plus fort, petit bite.— Pas de problème. À ces mots, il m’a retournée sur mon lit. Il a attrapé mes jambes et heureusement que je suis encore souple, car il les a remontées jusqu’à me les mettre au ...
    ... niveau des épaules. — Je vais te défoncer sale pute.— Arrête de jacasser et prouve-moi que tu as une grosse queue. Il faut que je lui rende hommage, c‘était un sacré sportif. Planté en moi, les mains sous mes épaules, il entrait en moi avec une vigueur que je n’avais jamais connue. Il utilisait l’élasticité du matelas pour nous faire rebondir et se laisser retomber au fond de moi. Les yeux dans le vague, je ne pensais plus à rien d’autre qu’au plaisir qu’il me donnait. Je me laissais porter par toutes les cochonneries qu’il me disait, je n’avais pas la force de parler, juste celle de crier. En dehors de l’acte lui-même, tout ce qu’il a pu me dire paraît d’une vulgarité sans nom. Mais me faire traiter de chienne dans ces conditions déchaînait toutes mes inhibitions. Être la plus chienne, la meilleure pute qu’il ait tronché, le cul le plus bandant et bien d’autres compliments encore, voilà ce qui réveillait mes sens, me faisait oublier tout le reste. Sur le moment, je ne me suis pas posée de questions, j’en voulais plus, je voulais qu’il trouve l’expression la plus humiliante, celle qui me rabaisserait le mieux, pour mieux m’exciter. À me considérer comme sa pute, sa chienne, son réceptacle à foutre, il aurait pu me faire encore mille positions, mille choses plushards les unes que les autres. Le minimum aurait été de me défoncer le cul, vu qu’il l’avait préparé. J’aurais aimé qu’il me plaque contre le mur, m’attrape les hanches et me sodomise, qu’il attrape ma tignasse rousse pour ...