Le feu sous la glace
Datte: 24/12/2019,
Catégories:
fh,
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hotel,
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fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
... change de ma première cliente. En tout cas elle a pas mal d’argent, le Bastide fait partie de ces endroits où je ne peux regarder que la carte, sinon je ne mange pas de la semaine. Le dîner est agréable. Cette fois-ci, c’est moi qui me fait cuisiner. J’essaie de suivre autant les conseils de Fred : « Surtout, elles ne doivent pas entrer dans ta vie, tu dois rester un mythe, une rencontre d’un soir. » Alors je lui révèle un peu, sans trop en dire, un sourire ou un rire lui permettent de savoir lorsque la question est trop personnelle. Elle a l’habitude. Le dîner est rapidement avalé, ces restaurants ont beau être chers, on paie plus pour le service et la décoration que pour la quantité de bouffe. — Le Negre-Coste est à deux pas. On y va ?— Comme vous voulez, Madame.— Eh bien : je veux. Je me demande si ce "Je veux" était un "Je veux" ou un "Je vous veux". Qu’importe ! La finalité est la même. Elle avait déjà réservé une chambre et avait les clefs en poche. Juste avant de pénétrer dans la chambre, elle me demande si je n’ai pas oublié mes préservatifs. Bien sûr que non ! Dans ce genre de métier, c’est aussi important qu’un casque pour un ouvrier du BTP. Vraiment, son assurance et sa prévoyance commencent à m’inquiéter. Elle est si mécanique, si « froide »… J’appréhende la suite. — Va prendre une douche dans la salle de bain. J’obéis. C’est étrange cette manie qu’ont ces femmes de me vouvoyer toute la soirée et, une fois dans la chambre, c’est comme si nous passions un ...
... palier dans l’intimité. Pas de sexe sans un certain degré de complicité. De retour dans la chambre, c’est peine si j’ai le temps de la voir se précipiter dans la salle de bain. J’inspecte un peu la pièce. Cette fois-ci, pas de cassette de cul dans la commode. C’est un cadre d’un autre standing. Le lit est spacieux et douillet, la télé est allumée, mais pas de son. Madame Carrielle ressort enfin de la salle d’eau, juste une serviette pour cacher sa nudité. Je m’approche d’elle et l’embrasse délicatement. Elle m’enfonce doucement la langue dans ma bouche. M’attrapant la main, elle me conduit vers lit et nous nous y allongeons. Quelques secondes passent, interminables secondes où le stress qui l’assaille est trahi par une respiration profonde. Elle m’attend, elle attend que je prenne les choses en main. Je commence à l’embrasser doucement dans le cou. Elle se laisse faire. Ma main vient se poser sur son sein gauche et commence à le caresser doucement. Je me relève à l’aide de mon coude et la regarde droit dans les yeux. J’essaie d’avoir le regard le plus profond possible, mais je ne suis pas du tout sûr de mon effet. Qu’importe ! Je l’embrasse à nouveau. Ma bouche descend le long de son cou par petits baisers jusqu’à sa poitrine. Je continue à la couvrir de baisers, doucement, partout sur les seins, entre les seins, dans le cou. Je crois que ça ne lui fait pas beaucoup d’effet, à peine cela lui ouvre-t-il l’appétit. C’est une femme directe, à moi de l’être aussi. Je lui empoigne ...