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Princesse Lamballe
Datte: 25/12/2019, Catégories: Mature, Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme
Phil et moi tapions souvent la balle avec le fils de Mme Lamballe, joliefemme de quarante ans. Au club de tennis elle nous faisait tourner latête. Je veux dire des garçons et des hommes. On put dire qu'elletouchait une large coterie de 7 à 77 ans. Nous avions eu de vagues échosque deux, trois moniteurs du club la bourraient des fois dans levestiaire. C'était une vicieuse, une garce. Je faisais la part del'exagération et cependant à sa façon de déambuler et de vous fixer iln'y avait guère de doute. Elle était une affamée de sexe. Je l'eus voulupour moi seule.J'avais en ce temps dix-sept ans et en faisait davantage. Je n'étais paspeu fier de ma taille et de mes biscotos. J'avais été débauché il y apeu par la mère d'un copain. Elle m'avait branlé puis sucé dans savoiture. Peu après et régulièrement nous baisâmes dans des boisalentour. Je devins ainsi son amant. J'y appris beaucoup. Je devinsaccro à la chose et notamment à ce genre de femme mature etexpérimentée. Je n'avais cure des fredaines de l'amour et quitte àm'épanouir dans du sexe physique autant que ce fut avec une femme vraie .Je n'osais espérer qu'un jour mon chemin croisât celui de Mme Lamballe.Le hasard a plus d'un tour dans son sac et le monde n'est-ce pas, estpetit. Je venais souvent taper le carton et faire des parties de babyfoot chez l'oncle. Il n'était pas le dernier à me motiver sur lesfemmes. Lui-même Don Juan émérite, il collectionnait dans la ville pasmal de conquêtes. Il me confirmait qu'il me fallait taper ...
... dans lesquadras. Les plus garces qu'il me disait. Lorsqu'une venait le visiter,je me retirais dans ma chambre avec mon jeu vidéo. Cependant j'avaisdroit des fois de mater par un petit trou.L'oncle flattait mon côté voyeur tandis qu'il m'infligeait sasupériorité bestiale. Ainsi il m'en remontrait. J'apprenais ce quevoulait dire baiser, sauter une salope. Dans le vice j’avais encore duchemin à faire. J'étais impressionné par la brutalité des saillies et lareconnaissance rencontrée auprès des amantes qu'on eût pu dire sesvictimes. N'empêche celles-ci en redemandaient et y revenaient souvent.Il y avait des habituées, bourgeoises dont on eût bien été étonné dedécouvrir le vice. Je ne les croisais pas sans sourire dans les rues dela ville. Leur secret m'excitait.Mon oncle considérât un moment que je pouvais passer dans la classesupérieure. Il m'associa à ses jeux. Quelques garces aimaient à êtreprise par deux mâles en même temps. Dans le même ordre d'idée je cruspouvoir recruter l'ami Phil autant que moi porté sur la chose. L'onclele trouva sympa et accueillit volontiers ce nouveau stagiaire. Plus eston est de fous, plus on rit. Nous prîmes un jour une garce à troisensemble. Nous formions une sacrée légion étrangère. Puis un jour jedécouvris par le trou la belle Mme Lamballe entrain de se faire enculerpar mon oncle.J'en conçus un peu de dépit voire de jalousie. Autant il m'importait peuque cette garce se fit sauter partout ailleurs. Autant ici j'étaisécœuré que ce fut presque sous ...