-
Princesse Lamballe
Datte: 25/12/2019, Catégories: Mature, Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme
... mes yeux et ce par les soins de l''onclecoquin. Je n'en laissais rien paraître à celui-ci. Cependant il devinaquelque chose après qu'il m’eut demandé ce que je pensais du cul del’autre salope. Il évoquait bien sure Mme Lamballe. Je haussais desépaules. Il comprit que je la connaissais et roublard m'en fit cracherle morceau. Je lui balançais tout. Aussi beau joueur me dit-il : "Je tel'offre. Elle est à ta portée de fusil."Pouvais-je refuser et paraître me dégonfler. Phil au courant m’exhortaisd'y aller et même me menacer avec l'assentiment de l'oncle de meremplacer. Il avait moins de scrupule que moi à sauter cette salope.Bref je dus rentrer dans l'arène. Entre temps temps et pour charger lamule l'oncle monta une autre séance où la garce fut offerte à M Trump,son voisin de palier. Notoire retraité et vicieux que je méprisais parailleurs. Je le croyais unique amateur de tendrons. Je ne pensais que cejuif ventru put se délecter du corps admirable de Mme Lamballe. Ill’enculât.Je pus mesurer ce jour-là mesurer la lubricité de cette femme. Ellen'avait cure qu'un tel amant fut si vilain et répugnant. Même celasemblait l'exciter. Elle l'en suçait avec pas moins de frénésie. Elle nemarquait nul dégoût qu'il voulut l'embrasser tandis qu'il la besognait.Mon oncle aux anges se contentait de contempler ces deux-là qui sedébauchaient. J'étais résolue à la baiser avec un parfum de vengeance.Il ne serait pas dit qu’elle me refuse après avoir consenti à ce qu'unignoble porc put la saillir. ...
... J'étais juste mortifié de devoir passeraprès ce maudit Trump.Elle sourit ce jour-là après m'avoir reconnu. J'eus droit à un proposflatteur. "Tu étais sur ma liste. Tu m'as toujours plus." Ceci meconsolât du reste et me fit entrer avec d'autant d'ardeur dans la danse.Mon oncle après qu'il eût pris sa part nous laissa. Il comprit mon émoiet que je voulais davantage faire l'amour avec sa femme plutôt que de labaiser. Elle-même perçut mon émoi et accepta volontiers qu'il y eût cezeste de tendre dans mes gestes. Ce qui la changeait de son quotidien.Nous restâmes au lit durant deux longues heures. Une sorte d'intimités’installa.Je savais que Phil regardait par le trou. Il m’engueula que je ne fisplus de chose à cette garce et ne l'ai enculé plus sauvagement. Ilvoulait à son tour chevaucher la bête et me montrer. Je l'en gardais. Jela voulais pour moi seul. L'oncle accepta. Phil en fut pour son reste etrongeas son frein derrière le mur. Cette fois j'ajoutais dans messaillies une plus grande vigueur et assurance et n'en conservait pasmoins une passion délicate dont elle me sut gré. Je ne pus cependantdavantage faire barrage à la concupiscence et de l'oncle et de Phil.La fois suivante nous devions ensemble la sauter. Au bout d'une minute,je disparus manifestement écœuré. Phil d'un regard de victoire l'enculasadiquement tandis que je sortais de la chambre. Je l'entendis hurler.L'orgie dura une heure. Nos deux mâles rigolaient. Je compris qu'ils sevengeaient de moi en souillant mon idole. ...