LE PAPILLON (7)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... fermeture éclair et se saisit de la carte de visite. J’entre son numéro et tape le message. Court mais précis. « Retrouve moi dans 1h30 au 45 rue Victor Hugo à Vincennes, entre sans sonner, je laisserai le portail ouvert » Envoyé. Mon cœur bat la chamade. Je suis toujours en bas de chez l’artisan, j’ai les mains moites et ai du mal à focaliser mon esprit. Trop tard pour revenir en arrière, maintenant tu dois foncer ma belle. Je hèle un taxi qui passe à proximité et lui indique une adresse dans le Marais. A mon arrivée, je me dirige vers une petite ruelle qui ne m’est pas inconnue. Une grande porte de plus de 4 mètres s’ouvre sur une court. Une boutique très mignonne y a ses quartiers, on est loin du sex shop d’antan. Finit les étals grossiers avec des jaquettes de DVD étalant des photos de chattes de bites et de culs. Ça sent bon, c’est beau et ça donne envie. On se croirait dans une de ces pâtisseries tendances ou tout est coloré, piquant, acidulé. J’ai envie de tout acheter. Cependant je sais exactement ce que je recherche. Mes doigts parcourent alors l’objet de convoitise. Exactement comme je le voulais. La sensation du silicone sur mes doigts me fait frissonner. Ce n’est pas le moment de trop s’exciter…. (le pincement dans ma fente ne s’interromps pas)… ….ma petite salope, gardes en sous le capot. Je paye mon achat et change de décors. Je me dirige cette fois ci vers une boutique de lingerie. Je choisis un ensemble violet, très échancré en haut comme en bas. C’est à ...
... peine s’il cache mon cul, et mes lèvres dévorent les bords tu tissus. Je sens ma petite chatte s’humidifier de plus en plus, dans moins d’une heure j’aurai franchi le pas, peut-être que je me sentirais mal, peut être que je n’aurai aucun remord, en tout cas pour le moment j’ai envie d’être chienne pour un homme qui m’excite. Mes achats complétés, je me dirige alors vers notre chantier. La rue est vide en pleine journée dans ce quartier résidentiel. Notre nouvelle demeure est splendide, grande, un beau jardin, aucun vis-à-vis. Alors que je m’apprête à ouvrir la porte de mon portail, une vague de culpabilité se propage dans mon ventre. Mon envie est plus forte, culpabilité ne commence-t-il pas par cul, c’est le signe que j’y vois. J’entre, déterminée… Je pénètre dans la maison et me dirige vers l’endroit où se trouvera notre chambre. Le gros du travail est fait, mais seuls quelques pièces doivent encore être finalisées. Je pose mon sac et me change. Je retire ma tenue du jour, mes sous-vêtements mais je garde mes talons. Je balance le tout un peu plus loin. Ma culotte est poisseuse, mon excitation est à son comble. J’enfile ma nouvelle parure. Aucun miroir dans le coin, je me saisis de mon téléphone et actionne l’appareil photo. Je prends une photo de mon corps recouvert par ce nouvel ensemble. La photo est belle, je suis bandante. Au pied j’ai gardé mes talons. Je mets alors le minuteur et pose mon téléphone. Je me recule et prend une pose de chienne, à quatre pattes, mes seins ...