LE PAPILLON (7)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... remplissent l’écran et on aperçoit mon cul qui pointe au-dessus de la photo. Seule ma bouche est visible sur la photo, ma langue léchant mes lèvres. J’ai l’air d’une bonne petite salope. J’envoie la photo à mon mari, j’ai envie de le narguer, voilà ce que tu perds mon chéri et un autre risque bien d’en profiter. Ma main fouille alors à la recherche de mon premier achat. Sur la boite on peut voir une bite d’une très belle taille, bien grosse, très réaliste. De belles veines la parcourt et un gland impressionnant la surmonte. Alors que je défais l’emballage, ma moule se trempe de mon excitation. Je retire la queue de plastique de son emballage et la parcours du bout des doigts. A sa base une ventouse termine le gode. Sans perdre une seconde, je me dirige vers notre salle d’eau. Une porte est entrouverte donne accès à une autre chambre. Dans cette pièce nous avons installé un sauna, pas en état de marche pour l’instant. Le sauna est en bois marron, une porte vitrée sur le devant, et un trou pour l’appareillage électrique sur la gauche. Je m’y enferme. Je m’installe sur le banc et me prépare. A ma montre il ne reste plus que 5 minutes avant la supposée arrivée de mon supposé amant. Mon message ne nécessitait aucune réponse, et j’espérais qu’il ne m’en envoie aucune. J’ai un sentiment d’excitation teinté d’angoisse. L’angoisse qu’il ne vienne pas. Je serais alors seule, abattue, achevant mes velléités de tromperie, de désirs et d’excitations. Mais un homme restant un homme ...
... c’est dans un claquement lourd que j’entends la porte du portail se refermer. Je jubile au fond de moi-même. Je ventouse la queue à la porte vitrée et m’agenouille devant. Dans mon ensemble je suis un fruit défendu qu’on veut croquer, dévorer. On veut boire mon jus, lécher mes recoins, racler la chair……. Ma chatte est en feu, ma bouche se rapproche de la grosse bite. Mes lèvres s’écartent pour laisser la queue se frayer un passage dans ma bouche. J’enfonce la bite petit à petit, humidifiant chaque centimètre. Ma langue tourne autour de ce chibre, je suis excitée comme jamais. La situation me rend folle, surtout lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir puis se refermer. Ma succion se fait plus sonore, aucune autre son ne me parvient. Soudain, le claquement de semelles en bois se fait entendre. J’imagine ses chaussures escalader les marches en ma direction. Je pousse des gémissements de plus en plus fort. Les pas sont lents, il me fait languir mais il est à ma merci. Sa présence le trahit. Ma bouche enfonce par à-coups la queue au fond de ma gorge qui cogne sur ma glotte. La lumière est un instant éclipsé par une silhouette. Le contrejour m’empêche de voir son visage. Sa présence m’électrise soudain et je m’active de plus en plus fort sur ce pieu factice. Alors qu’il se décale je remarque son visage, fou d’excitation. A l’endroit de sa queue, une tige longue et épaisse descend le long de sa jambe. Ma main se joint à ma bouche. La queue est luisante de ma salive, des filets de ...