LE PAPILLON (7)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... habile, il me saisit l’entrejambe et me colle à la vitre. Sa remonte vers mon visage et pénètre ma bouche. Il me fait lécher ma mouille, ses doigts ont mon odeur. Je les suce avidement. Il les ressort trempés et repart en direction de ma chatte. Il passe en dessous, et caresse le sillon de mon cul. Son majeur frôle mon trou à plusieurs reprises, touchant les bords, repartant dans la raie de mon fion. Et quand mon désir est insoutenable, comme par télépathie, il me pénètre le cul. Je lâche ses couilles et ramène mes doigts sur mon clitoris. Je le triture avec force alors que son index a rejoint son majeur dans mon trou. Il me baise de ses deux doigts, je le branle toujours de ma main droite. Nous respirations emplissent la pièce, mêlée à des cris de plaisir sortant de ma gorge. Ma main frotte ma chatte, l’autre caresse son membre, ses doigts fouillent mon cul. Nous nous tenons face à face au bord d’une orgasme monumental. Mon regard plonge dans le sien. Ses yeux me crient leur frustration, il semble m’implorer de le faire éjaculer. Je lâche tout. Je sens ses doigts tripler de volume et mon orgasme contracter mon corps. Je pars dans une jouissance très violente. Mes seins, retenus par le soutif, s’écrasent contre la vitre pleine de buée. Ma main caresse mon clito, ses doigts allant et venant dans mon cul. Je suis contracté comme une folle, lui semble être au bord du précipice. J’arrache ses doigts de mon cul, et me mets à genoux. Sa bite n’est plus qu’à quelques ...
... centimètres de mon nez. Je choppe ses doigts et les lèche avec avidité. Ils sentent mon cul. Sa bite palpite sous mes yeux, et comme dans un soulagement j’engloutie son membre en une seule fois. Je sens alors un liquide chaud cogner contre le fond de ma gorge alors que mon bellâtre laisse échapper un long soupir de plaisir. Il a plié légèrement ses genoux pour venir à la rencontre de mes lèvres. Sa bite est bonne, elle est grosse. Elle a l’odeur que j’imaginais dans mes rêveries. Ma langue la caresse par le dessous alors que je la garde enfoncée dans ma bouche. Elle grossit dans ma gueule, balançant tout son jus, maculant l’intérieur de ma bouche. Je ne compte plus les giclées, je suis ailleurs. J’ai joui comme une folle et je joui encore maintenant. Cette superbe queue j’en ai rêvé, je la possède maintenant. Je me recule à présent, groggy, les jambes écartées. J’ouvre la bouche et lui laisse voir la flaque de sperme que je garde sous ma langue. Devant lui je déglutis bien fort et lui fait constater ce tour de magie. Ses cheveux sont en bataille, et son visage est carrément trempé, il l’a posé contre la vitre et il respire bruyamment. Le haut de sa chemise est devenu plus sombre à cause de la transpiration. Une goutte de sperme pend de sa queue qui commence à débander. Je me lève du sol, et ouvre la cabine. Je vais à la rencontre du bellâtre qui s’approche de moi dans l’espoir de m’embrasser. Mon corps se colle contre le sien mais ma main vient à la rencontre de ses lèvres. « pas ...