Christine V : Coeur, sexe et imagination (7)
Datte: 26/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... regard du type qui avait ouvert la porte ? — Je suis sûr qu’il a vu ce que nous faisions. Christine intervient : — De telles aventures, ça crée des souvenirs impérissables. — Je ne vais pas te dire le contraire, mais il y a deux autres souvenirs plus marquants à mes yeux que cette escapade. Je suis surpris : — Ah bon ? Lesquels ? — Le premier, c’est notre arrivée chez mon père le soir même. On s’était bien cherché durant toute la soirée et tu m’as baisée comme un fou : quelque soit la position, tu me pilonnais à toute vitesse. Et tu avais tenu un sacré moment ! J’en pouvais plus ! J’avais le vagin en feu et les lèvres douloureuses tellement tu me prenais fort. Je me souviens que j’étais montée sur toi pour te calmer, mais tu m’avais attrapé les hanches pour me prendre plus fort et plus vite. Une vraie machine ! Nous éclatons de rire. Christine confirme : — Parfois, c’est vrai que tu y vas très fort. Mais moi, j’aime bien. Je me défends un peu tout de même : — Hé ho ! Si je me souviens bien, on l’a refait durant la nuit et plus d’une fois. Alors je ne pense pas que ça devait être si douloureux que ça ! Véro rit. — Oui, c’est vrai qu’on l’avait refait plusieurs fois. Tu m’avais même mis un doigt dans le derrière. C’était la première fois qu’on me faisait ça. — Je doute qu’on ne te l’ait pas refait depuis. Véro rougit. Christine rit. Le sujet semble gêner Véro. Je l’embrasse. — Et l’autre souvenir alors ? — La journée de classe le lendemain, la plus excitante de toute ma ...
... scolarité. Christine dit : — Je suis sûre que je vais apprendre des choses. — Il faut reprendre depuis le début. On voulait se réveiller un peu plus tôt pour pouvoir faire l’amour tranquillement au réveil. Sauf qu’on s’est levé en retard et donc pas de câlins. Juste le temps d’une douche et de s’habiller. J’avais prévu la jupe bleue, car Florent m’avait dit qu’il l’adorait. On est tellement efficace qu’on en est presque en avance au moment de partir. Si bien que Florent lève ma jupe, enlève mon string et me prends sur la table à manger. Un rapport très rapide. — Très apprécié si je me souviens bien ! Véronique rigole : — Oui, ça m’avait beaucoup excitée de faire l’amour juste avant de partir. On passe à la salle de bains et de retour dans la cuisine, Florent ramasse mon string, le met dans sa poche en me disant que je n’en ai pas besoin aujourd’hui. Imagine : je n’étais jamais sortie sans culotte de ma vie. Je n’ai pas réagit, peut-être que je me disais qu’il allait me le rendre en arrivant. — Et je ne l’ai pas fait. — Non. Mais durant le trajet, je n’ai pensé qu’à mon absence de string. Nous étions en fin d’année, la promotion était dans la poche et depuis la veille, j’étais en mode sexe. Et donc, ça ne me choquait pas de ne pas avoir de string. Au contraire, ça m’excitait beaucoup. Christine provoque : — Et ça, tu l’as refait ? — Sans culotte ? Ah oui, très souvent. Ça plaisait beaucoup à mon mari. — Au mien aussi, je te rassure. Elles rient. Véro reprend son récit. — On arrive à ...