Christine V : Coeur, sexe et imagination (7)
Datte: 26/12/2019,
Catégories:
Hétéro
... l’école. Tu te garais toujours dans une rue derrière, dans une zone résidentielle. Il nous restait quelques minutes, on se chauffe un peu et je te suce. — Dans le rétroviseur, je voyais d’autres élèves arriver. Il ne passait que quelques mètres derrière la voiture, c’était très excitant. — Et tu as joui pendant la sonnerie. — Ah ah ah ! Oui, je m’en souviens ! On avait dû se dépêcher. — On est arrivé devant la classe alors que tout le monde entrait. Le timing parfait. Ensuite, ça avait été plus calme. — Jusqu’à midi. — Les toilettes étaient vides et on a pu entrer facilement dans la cabine. Vingt secondes après, il devait y avoir entre huit et douze fille ! Déjà ça, ça m’a beaucoup excitée. Ensuite, je pensais qu’il n’y aurait qu’une fellation. Mais quand tu m’a redressée et tournée, là, tu m’as rendue folle. Je me disais "non, c’est pas possible" et dans le même temps, "oui, j’ai tellement envie" ! Nous éclatons de rire. Véro boit un peu. — Visualise la scène, Christine : je suis debout les mains sur la porte, ma jupe est relevée au-dessus de mes fesses. En haut, je n’ai rien car mon chemisier ouvert a été roulé à ma taille et mon soutien-gorge est au niveau de mon nombril. Ton mari me prend par derrière, les mains sur mes seins. Autour, ça papote, ça rit. La poignée est actionnée à plusieurs reprises et ça me stresse à chaque fois. — J’aurais fait une crise cardiaque à cet âge-là ! ecqeiixf — J’en étais pas loin, ah ah ah ! Ça m’a rassuré quand ça s’est calmé, comme si ...
... elles étaient toutes sorties en même temps. On a pu finir tranquillement et descendre manger à la cafétéria. Je précise : — A un détail près. — Un soutien-gorge près. Florent me l’a retiré. Heureusement que mon chemisier était noir. On a mangé puis on est sorti. Il y avait une bonne partie de la classe. Tu étais là, Christine. — Certainement, mais je ne me souviens pas précisément de ce jour. — Et bien là, j’ai commencé à m’exhiber. J’écartais les jambes chaque fois que Florent était en face de moi. — Alors ça, tu ne me l’avais pas raconté ! — Attends la suite. Nous rions. Véro reprend : — Les exhibitions se sont poursuivies en classe. — Mais noooon ?!!? — Florent était deux rangs devant moi, sur ma gauche. Il se tournait et j’ouvrais la jambe vers lui. — On a fait ça durant les deux premières heures. — Ensuite, on a changé de salle de classe et on s’est assis l’un à côté de l’autre, au fond de la salle. — Et là ? — J’ai ouvert mon chemisier jusqu’au nombril. De loin, le prof ne voyait rien et Florent avait une vue parfaite sur mon sein droit. — Mais ce n’est pas tout. — Je faisais mine de prendre des notes, penchée sur le bureau, et Florent, en tendant le bras juste sous le niveau du bureau, me caressait. Ce salaud me pinçait le téton ! J’étais tellement excitée, c’était fou. Le prof était face à la classe et je me faisais peloter. Et tout à la fin de cours, je me suis tournée face à Florent et je lui ai montré ma poitrine en écartant mon chemisier. Personne n’a rien vu. — C’est ...