Écoeurement détaché
Datte: 26/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
Collègues / Travail
jalousie,
Oral
pénétratio,
... boire quelque chose. À ta bite ! J’aurais pu dire ça. Ça aurait plu à Christophe. Je ne l’ai pas dit, bien sûr, je suis pudique. Et j’avais compris qu’il ne bandait plus. Avant, oui, je l’avais senti contre mon bas-ventre quand il m’embrassait. Attila aux portes de Rome n’y entre pas. J’aurais pu en rire, me sentir humiliée de ne pas être désirée, mais je savais que c’était compliqué et que la bandaison papa ça ne se commande pas. Il a respiré un grand coup, débouché une bouteille de vin, rempli nos verres, parlé de mes études. L’histoire ancienne, c’est intéressant. Mais le droit aussi, non ? Bavardage. Baisers au vin, puis ma main sous sa chemisette à caresser ses petits tétons, il me refera pareil et ça me plaira de nouveau. Sa bouche sur la pointe de mes seins, ma main constatant qu’il bandait, pourvu que ça dure. Son lit. Nus tous les deux en vitesse. Sa langue sur mon minou trempé. Mes lèvres sur son appareil reproductif très ferme et sans odeur. Je m’étais lavée soigneusement, moi aussi. Il rentre en moi comme Attila dans Ravenne. Non, je rigole, il me possède bien tendrement, attentif à mon plaisir, balbutiant des mots d’amour. Déjà ! Une perle, ce jeune homme timide. Mes copines me demandant si cette fois c’était la bonne, je répondais qu’on verrait bien. Nous passions nos nuits ensemble, parfois chez lui mais le plus souvent chez moi, question cuisine et ménage. Et voilà qu’il me dit un jour qu’il aimerait bien inviter un copain à dîner, un ami d’enfance, un ...
... presque frère qui s’ennuyait tout seul. Mais pourquoi pas si tu crois que ça lui fera plaisir. Ce qui lui ferait le plus plaisir, tu vois, et à moi aussi d’ailleurs, ce serait qu’il s’occupe un peu de toi, qu’il te caresse, par exemple… Mais devant moi, bien sûr ! Ça n’ira pas plus loin si tu ne veux pas, c’est toi qui décideras, mon amour. Comme sur mon ordi, par une fausse manœuvre, il avait laissé un jour en marque-page "Share your Girlfriend" et "Sell your GF" qui conduisaient aux mêmes vidéos débiles, je n’ai pas été surprise. Les mecs sont comme ça, partageux. Enfin, pas tous sans doute. S’ils nous aimaient vraiment… Mais bon, on verra bien. Comment il s’appelle, ton pote ? Nicolas. Va pour Nicolas. Un tout gros, déjà du bide, des yeux à fleur de tête, une chemisette sale avec de la sueur sous les aisselles, des doigts boudinés aux ongles en deuil, une gourmette. Sophie, voici Nico. Nico, c’est Sophie, allez, faites-vous donc la bise ! Un parfum écœurant. Des lèvres épaisses entrouvertes sur des dents pas propres. Enfin, j’en étais sûre. Ses mains sur mes hanches de fille maigrichonne, s’il me baise il m’écrase. Il m’embrassa sur les joues mais trop près de mes lèvres. J’avais cuisiné une blanquette de veau, recette de ma grand-mère. Il avait apporté une bouteille de Châteauneuf-du-Pape, 14 degrés d’alcool. Je fermerai les yeux et les lèvres, il n’aura pas ma bouche, les putes interdisent leur bouche aux clients, je le sais. Mais elles sucent. Sucerai-je ? Pouah ! Ils ...