Deux jumelles coquines (pure fiction écrite en 08.2011).
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Depuis notre adolescence nous nous sommes toujours entendues pour faire de blagues à ceux qui nous côtoyaient. Ce n’était jamais bien méchant mais nous nous arrangions pour faire marcher les copains et les copines qui tombaient régulièrement dans le panneau. Parfois même, lors d’épreuves sportives, nous échangions nos dossards pour favoriser celle qui était la plus forte dans une discipline et inversement. A 18 ans, nous sommes entrées toutes les deux à l’université, et là, c’était encore plus facile de duper nos condisciples en raison du nombre d’étudiants dans les amphithéâtres. Vraies jumelles, il a toujours été difficile de nous différencier. Grandes blondes à l’allure sportive, adeptes de la course à pied, de la gymnastique et de l’athlétisme, nous figurions honorablement dans les épreuves du sport au lycée. Encore actuellement, nous pratiquons régulièrement la course à pied le samedi matin généralement. Un long footing de deux heures autour des lacs du bois de Boulogne ne nous fait pas peur. Les cheveux coupés courts, le visage à peine maquillé, nous attirons les regards de ces messieurs. Le sport nous a fait une silhouette longiligne avec des muscles légèrement marqués, un bassin resté étroit et des seins assez peu volumineux mais bien ronds. Notre grand jeu, c’était de se faire passer l’une pour l’autre, On attendait Régine, c’était Rébecca qui arrivait. Quand nous avions des rendez-vous avec des garçons, de temps à autre, nous échangions ainsi les rôles. Nos ...
... petits amis n’y voyaient que du feu. Lors de la fête de fin d’année, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans l’appartement que nos parents louent pour nous. Nous y avons chacune une chambre et le séjour nous est commun. Nous avions pas mal bu et nous étions tous bien chauds. L’une comme l’autre nous n’avions pas baisé depuis plus de deux semaines pour être bien en forme pour les examens partiels et là, l’envie de jouir nous tenaillait. Les garçons étaient eux aussi entreprenants. Loïc m’avait coincée dans un coin de l’ascenseur et avait commencé à me peloter les seins par dessus mon sweet-shirt. Jérôme de son côté, faisait des allusions grivoises à Régine : • Tu vas voir comment je vais te sauter. Je vais te faire grimper ! Quand nous sommes entrés dans l’appartement, nous nous sommes sciemment trompées de chambres après avoir dit à Loïc et Jérôme de nous attendre dans le séjour. Peu de temps auparavant, nous nous étions rendu toutes les deux dans un sex-shop pour acheter une combinaison en dentelle qui nous couvrait presque entièrement. Seules la tête et les mains n’était pas couvertes. Nous avions également acheté des loups assortis et des chaussures à très hauts talons avec une semelle épaisse qui allongeait encore notre silhouette. Lorsque nous sommes revenues dans le séjour, les deux garçons sont tout de suite tombés sous le charme de notre tenue. Je me suis installée sur les genoux de Jérôme et Régine sur ceux de Loïc pour les embrasser et nous livrer à eux : nous ...