1. Deux jumelles coquines (pure fiction écrite en 08.2011).


    Datte: 16/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... étions tombées d’accord et nous avions prévu de changer et retrouver notre partenaire habituel en cours de soirée. Jérôme a commencé à me peloter les seins au travers de la dentelle, réussissant même à faire passer un téton au travers et ayant trouvé l’entrée de la combinaison, de son autre main il massait mon entrejambes. Collée contre lui, je sentais sa bite s’ériger dans son pantalon. Je me suis levée et me suis agenouillée devant lui après avoir fait glisser son pantalon et son slip jusque sur les talons. Je retrouvais face à moi sa belle queue vigoureuse et généreuse qui m’avait fait fantasmer lorsque Régine m’en avait parlé. Je l’ai prise en bouche le plus loin possible et en la ressortant plusieurs fois, je l’ai copieusement enduite de salive. Je masturbais sa bite d’une main et je suçais l’extrémité en me concentrant sur le gland. Du coin de l’œil je voyais ma sœur Régine et Loïc. Elle était en levrette sur un des fauteuils et ce coquin lui mangeait la chatte en écartant ses fesses. Loïc était entièrement nu et il masturbait doucement sa bite tout en faisant minette à ma jumelle. Je le savais plutôt adepte des positions par l’arrière et je ne serais pas surprise s’il prenait ma sœur dans cette position. Entretemps Jérôme s’était débarrassé des ses vêtements avec mon aide. Entièrement nu, je lui ai dit de s’allonger sur le tapis. Sa bite était dressée comme un « I » au milieu de son pubis poilu. Je l’ai enjambé et je suis venue m’empaler sur ce sceptre dressé. Face ...
    ... à lui, je montais et descendais, sa queue entrant par la fente de la combinaison. Tantôt il me caressait les seins, tantôt il me tenait par les hanches pour m’aider dans mes mouvements mais comme je l’ai dit, mes jambes de sportive me facilitaient les allers-retours. Il me remplissait bien et chaque fois qu’il arrivait au fond de mon vagin, je ressentais comme une décharge électrique qui montait de mes reins jusqu’à ma nuque. Je ne m’étais pas trompée : Loïc baisait ma sœur en levrette. J’entendais le claquement de son bas ventre contre les fesses de Régine. Soudain, je ne sais pas par quel miracle, la jouissance nous a emportés tous les quatre dans le même moment. Les deux garçons se sont vidés une première fois en nous (nous étions en confiance, il n’y avait pas besoin de préservatif et nous prenions la pilule). J’ai senti au fond de moi les puissantes giclées de sperme de Jérôme au moment où le spasme du plaisir m’emportait. Quand les deux garçons sont sortis de nous, nous avons échangé nos partenaires. Je suis allée toiletter la bite de Loïc et Régine celle de Jérôme. Lorsque nous avons terminé, toutes les deux nous leur avons posé la question en ôtant notre loup : • Avez-vous vu ou senti une différence ? Devant leur air surpris nous leur avons expliqué la supercherie et en riant les deux garçons se sont esclaffé : • Ah ! Les coquines ! On savait que vous vous faisiez passer l’une pour l’autre mais là vous avez fait fort ! Cela ne nous dérange pas ! La soirée s’est pour ...