1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (5) : mariage et adultère.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... la lumière, le soleil qu’on a aujourd’hui, je suis aussi indécente que si j’étais nue. • Je veux que chacun et chacune voit le trésor qui est à moi. • Oui, je suis à toi. Je croyais que tu n’étais pas exclusif, mon chéri • Je ne le suis pas, je rêve toujours de te voir avec d’autres. • En attendant tu es superbe aussi dans ton costume et, si j’en juge avec la bosse qui déforme ta braguette, je te fais de l’effet. Dommage qu’on n’ait pas le temps, je t’aurais bien taillé une petite pipe, pour te soulager et avoir ma dose de foutre de mon chéri. Tu ne perds rien pour attendre. La cérémonie en mairie se déroula en petit comité, avec les témoins et les proches. Je remarquais que Pierre et Christine étaient particulièrement prévenants envers moi. Ils me considéraient comme une proie, mon instinct me le disait. Ils me déshabillaient du regard. Il était évident que Christine aimait les femmes. Elle était le genre de femmes qui m’attiraient, une blonde plantureuse, avec des seins fermes qui devaient lui permettre de pratiquer sans problèmes la branlette espagnole avec ses amants. Je m’imaginais nue, abandonnée à ses caresses saphiques. Quant à Pierre, je ne pouvais pas ne pas remarquer l’effet que je lui faisais. Comme Philippe tout à l’heure, son érection se voyait. Mais manifestement la dimension et le calibre n’étaient pas ceux de mon futur mari. Je chassais de mes esprits les pensées érotiques que m’inspiraient nos témoins. L’officier d’état-civil, en voyant ma tenue, ne put ...
    ... s’empêcher de faire une remarque : • Au moins avec votre tenue, Madame, vous ne souffrirez pas trop de la canicule. Lors de la cérémonie elle-même, au moment de la lecture des articles du Code Civil relatifs au mariage, Philippe ne put s’empêcher : • « Article 212 : Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours et assistance ». • En ce qui concerne la fidélité, j’aime trop ma femme pour ne pas la dispenser de cette obligation ». Je lui jetais un regard noir et la cérémonie se poursuivit ensuite sans autre incident. Lui voulait savait qu’avant la fin de la nuit de noces mon serment de fidélité serait rompu. Nous rejoignîmes ensuite ce bel hôtel que nous avions réservé pour notre cérémonie, et qui bénéficiait d’un très beau parc, dont l’ombre était bienvenue. Ce fut alors le long défilé des invités pour nous féliciter. Pierre et Christine, en tant que témoins étaient parmi les tout premiers. Christine m’embrassa dans le cou et derrière l’oreille et en profita pour mettre une main sur mes seins. Comment pouvait-elle ainsi connaitre mes zones érogènes ? Quant à Pierre, il me prit dans ses bras, pour faire en sorte que je sente bien son érection. Lui, c’est sur mes fesses qu’il posa sa main et son baiser fût donné tout près de mes lèvres. Le défilé me parut interminable. Beaucoup de femmes me jetaient un regard noir et s’éloignaient en disant assez fort pour qu’on entende « petite putain » Les hommes prenaient leur temps, pour bien mater mes charmes. Il y a d’ailleurs ...
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