Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (5) : mariage et adultère.
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... comme ça que tu as perdu Flavienne et Patricia. • Avec Olga, c’est différent. Elle lutte contre sa nature, elle se rend malheureuse. Il faut arriver à la faire changer d’avis. Et quelle plus belle occasion que le jour de notre mariage pour y arriver ? • Cocu le jour de ton mariage ? Tu es tout de même un drôle de type, Philippe, dit Pierre. • Cocu oui, mais heureux car je saurais que ma chérie a eu enfin le plaisir dont elle se prive depuis trois ans. Et pour ça, j’ai besoin de votre aide, mes amis. • Comme tu sais, Jean ne pourra assister à votre mariage. C’est bien dommage, car il aurait adoré te rendre ce service ! • Ce n’est que partie remise, Christine. Un jour Jean baisera mon Olga, je n’en doute pas. • Il y compte bien, comme moi j’espère aussi un jour un jour la mettre dans mon lit. Tu m’as dit qu’elle aimait aussi les femmes. En attendant, pour ce grand jour, tu as pensé à qui ? • A toi, Pierre, mon ami, mon témoin. A toi l’honneur du premier adultère, de faire jouir ma femme, d’apaiser une frustration de près de trois ans. • C’est une excellente idée. Pierre a déjà participé à nos parties fines et c’est un amant exceptionnel. Ton Olga va prendre son pied. • Je suis prêt à relever le défi. Mais je te préviens, Philippe, une fois que ce sera lancé, ne change pas d’avis, ce sera trop tard. • Changer d’avis ? Je rêve de ça depuis trois ans. Je te demande juste de bien la faire jouir. Elle sera entièrement à toi, tu pourras te vider en elle, je te fais confiance. • Il ...
... faudra être discret ? • Au contraire, ça me plait que les gens se doutent que tu me grilles la politesse pour la première nuit conjugale. • Et comment procéder ? • Christine et toi, vous saurez comment vous y prendre. • Tu peux compter sur nous. Je n’étais naturellement pas au courant de ce « complot » organisé Par Philippe avec Pierre et Christine. Le grand jour était arrivé. J’étais comme une princesse, après avoir passé la matinée aux bons soins de la coiffeuse et de l’institut de beauté. Aucun détail n’avait été laissé au hasard, depuis le vernis de mes ongles jusqu’au fard des yeux. Les chaussures, avec leurs talons à aiguille, mettaient encore plus en valeur mon joli cul. Je me regardais dans la glace pendant que deux femmes achevaient de m’aider à me préparer (je n’ose pas dire en l’occurrence m’habiller) et j’étais effarée. Bien plus qu’au magasin où Philippe m’avait forcée à acheter cette robe, je me rendais compte de son incroyable indécence. C’était une robe pour la Cicciolina, pas pour la jeune femme sage que je pensais être devenue. Philippe m’exhibait comme un trophée de chasse. Mes sentiments étaient partagés. J’avais honte et, en même temps, moi qui avais toujours eu une tendance à l’exhibitionnisme, j’étais fière de ma beauté qui rayonnait ce jour-là. • Tu es magnifique, ma chérie. Merci d’avoir accepté de porter cette robe. • Tu as tellement insisté. Je n’aurais pas dû accepter. C’est trop. Je vais faire scandale. Avec ce décolleté, on voit mes seins. Et avec ...