1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (5) : mariage et adultère.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... d’avaler un nectar que j’aime, mais c’est un peu salé. Pendant la réception, j’ai pu faire la connaissance des deux anciennes compagnes de Philippe, Flavienne et Patricia. Malgré les années, j’ai eu l’impression qu’elles n’avaient pas oublié, qu’elles ne lui avaient pas pardonné et que, d’une certaine manière, elles étaient jalouses. Patricia était particulièrement remontée : • C’est un pervers, vous n’imaginez pas jusqu’où il vous entrainera. Comment avez-vous pu accepter de porter cette tenue ? Rien que cela va faire scandale dans notre ville. Il vous exhibe comme une prostituée. • Je l’ai accepté parce que je l’aime et que moi aussi je suis aussi exhibitionniste. Patricia n’est pas restée au diner, contrairement à Flavienne, qui était venue avec son nouveau mari, mais qui m’a semblé encore très éprise de Philippe : • C’est finalement grâce à vous et Patricia que je dois mon bonheur. Parce que Philippe était libre. • Il m’a poussée dans les bras d’un autre. J’ai cédé, mais je n’ai pas été au bout de ses fantasmes. Je l’ai souvent regretté car j’aimais Philippe. C’est un trésor. • Il me semble que tu l’aimes encore. » Je m’étais mise à la tutoyer, mon instinct voyait une rivale. • Oui et je sais que toi tu lui donneras tout ce qu’il attend. Se faisant, tu ne lui rends pas service. Fais attention à ne pas le détruire et à te détruire. Une hypersexuelle ne peut contrôler les dérives d’un candauliste. Vous faites un mélange explosif, je crains le pire. Prends garde de ne lui ...
    ... faire aucun mal, car je serai toujours là pour lui ». La réception marqua le début de l’offensive de Pierre, avec le soutien de Christine. Les deux complices prenaient particulièrement soin de moi, veillant à ce que mon verre ne soit jamais vide. L’alcool, peu à peu, embrouillait mes esprits, la chaleur aidant. A table j’étais entre Philippe et Pierre, Christine était en face de nous. Pierre me faisait la cour, en présence de Philippe et avec ses encouragements. La conversation s’orienta vers le sexe. Christine expliquait qu’elle et son mari Jean étaient un couple libertin, qu’ils organisaient dans leur villa des parties fines et qu’elle avait plaisir à s’offrir à ses amants en présence de Jean et aussi à voir celui-ci honorer d’autres femmes. Philippe mentionna à nouveau ses fantasmes candaulistes, en ajoutant que je ne voulais pas. Christine m’interpella : • Mais pourquoi ma chérie ? Tu as un mari qui t’adore, qui est tendre avec toi, qui te traite en princesse, qui te laisse entièrement libre. Il te demande juste un petit plaisir et toi tu ne veux pas ? Egoïste, va ! Il me semble pourtant que tu n’es pas une oie blanche ! • Simplement parce que je veux rompre avec ce passé. Eh bien oui, j’aspire à être une bonne bourgeoise, une épouse sage et fidèle, une femme au foyer, mère de famille. Je me rendis compte que la main de Pierre était sur ma cuisse et remontait, alors que Christine, elle, me faisait du pied. Les deux complices coordonnaient leurs efforts. Pierre écarta mon ...
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