1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (5) : mariage et adultère.


    Datte: 30/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... moi la robe de mariée. Il voulait que je me marie en blanc, alors que je lui avais dit : • C’est la couleur des vierges. Il y a bien longtemps que j’ai perdu mon pucelage, tu sais, avec tous les amants que j’ai eus. • Pas assez à mon goût et surtout ça me frustre que tu n’en n’as plus depuis que tu me connais • Tu es incorrigible ! • Laisse-moi faire. Le blanc te va si bien. Le contraste avec tes longs cheveux noirs, avec ta jolie peau halée, mon Aphrodite. • Il parait qu’elle était blonde ! Nous fîmes de nombreux magasins. Ce n’était jamais assez cher et surtout jamais assez sexy. Il finit par trouver ce qu’il recherchait : • Mon chéri, elle est magnifique mais.. Déjà, pour commencer, elle est hors de prix. • Rien n’est trop beau pour toi. • Et surtout elle est absolument indécente. Tu as vu ce décolleté, ce dos nu, la façon dont elle est fendue jusqu’au haut des jambes. Je serai plus indécente que si j’étais nue. Regarde Philippe, on voit mes seins. Et puis le tissu fait qu’elle est presque translucide, il ne faudra pas se forcer pour voir mes fesses, ma chatte. Non, ce n’est pas possible. • Olga, fais-moi plaisir. Si je pouvais, je t’exhiberai nue. Je veux que les autres femmes crèvent de jalousie, que les hommes soient fous de désir. Que tout le monde sache que ma femme est magnifique et que c’est moi qu’elle a choisi ! • Tu es fou. A la mairie, on va m’accuser d’attentat à la pudeur ! • Si tu y tiens tu porteras une étole légère à la mairie. Pour la réception et le ...
    ... diner, nous serons entre nous. • Entre nous, avec toutes les personnes que tu as invitées. Puisque tu insistes tellement, on y va, mais tu ouvres la boite de Pandore et le jour de notre mariage. • Ca ne me déplairait pas, bien au contraire ! • Vicieux ! • Je fais une concession. Tu porteras un mini-string, pour une fois. Mais pas de soutien-gorge. • Les mecs vont passer leur temps à mater mes seins ! • C’est ce que je veux. Rien que d’y penser, ça me fait bander ! Je lui jetais un regard noir, furieuse qu’il joue ainsi avec moi. Mais un baiser déposé sur mes lèvres me désarma. Après tout, si c’est ce qu’il voulait, je lui ferai plaisir ! Nous étions en juin 2003, l’année de la canicule, et il faisait à ce moment particulièrement chaud. Avec cette robe ultra-sexy, je ne risquais pas de souffrir trop de la chaleur ! J’ai su plus tard comment Philippe avait organisé les choses. Il s’était ouvert de ses fantasmes auprès de deux de ses proches : • Pierre, un beau brun type italien, le meilleur ami de Philippe et qui serait son témoin. • Christine, une blonde plantureuse, qui formait avec son mari Jean un des couples les plus connus de notre ville, réputé pour sa liberté de mœurs. Christine sera, bien plus tard, mon amante. Ce jour-là, elle était mon témoin. Philippe leur expliqua que, depuis qu’ils se connaissent, Olga avait radicalement changé et se refusait à toute autre relation, encore moins de répondre à ses fantasmes candaulistes. • Fais attention, Philippe, lui dit Pierre, c’est ...
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