1. La reine Margo - 2


    Datte: 01/01/2020, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    La petite vicieuseEn avançant silencieusement dans l’un des nombreux passages secrets du château, tenant une petite lampe tempête a bout de bras, je me sentais fébrile et surexciter, car j’entendais au loin, les gémissements bien reconnaissables de ma sœur qui était en train de baiser avec un jeune soldat. Elle était dans l’une des chambres de cet étage comme je le soupçonnais, probablement celle qu’elle prenait habituellement quand elle me rendait visite. Sentant la pierre humide sous mes pieds et mes gros seins qui se balançait mollement, je me sentais trop bien a me balader a poil comme ça dans ces couloirs sombres et poussiéreux et j’étais surexcité, car j’allais assouvir mon vice préférer, le voyeurisme. Rien ne me faisait mouiller plus que de regarder les autres baisers si ce n’est d’être à mon tour observer. J’avais découvert ça en espionnant mes parents à la ferme avec ma sœur, plus jeune, qui aimait se rincer l’œil tout autant que moi. Un vice de famille, j’imagine.Il faisait chaud et humide depuis près d’une semaine, mais ce soir c’était pire que tout parce qu’un orage violent venait d’éclater. J’avais l’impression de respirer de la vapeur en essuyant sans cesse de la sueur perlant sur mon corps et quand le tonnerre grondait faisant trembler les pierres du château il couvrait les gémissements de plus en plus aigus de Jeanne.J’arrivai enfin dans le couloir de brique qui longeait les chambres d’amis du deuxième. Mais avant d’aller reluquer ma sœur, je stopper ...
    ... devant le premier petit panneau de bois qui se trouvait juste à hauteur de mes yeux. Un panneau de 6 pouces par 6 pouces avec deux pentures et une poignée. Il y en avait plusieurs à égale distance sur ce mur. Je l’ouvris, il cachait une ouverture dans la brique avec un trou au centre boucher par un bouchon de liège que l’enlever pour y placer un œil. Je voulais m’assurer que ma nièce était bien couchée comme je l’avais ordonné et seule. Le trou me donna une vue en plongée de son lit à travers une tapisserie. Je ne fus pas vraiment surprise de la trouver allonger sur le dos avec sa chemise de nuit remonter sous le menton, dévoilant ses petits seins et son corps maigrichon d’adolescente, jambes écarter, a ce donner du plaisir avec un cierge étroit au bout arrondit a la lueur d’une lampe de chevet. Et à la voir grimacer et à voir ses petits orteils tout croche, elle devait être sur le point de jouir. C’était mignon comme tout. « La petite vicieuse, » me dis-je en souriant.De la voir faire me rappelait qu’a son âge, juste avant de me marier, je faisais la même chose dans mon lit pendant que ma sœur dormait contre moi, soit avec une bougie moi aussi, soit avec une courge volé a la cuisine, ou tout ce que je pouvais trouver en fait qui avait la bonne forme, que de plaisir cela m’avait procuré. A force de me voir faire parce que mes gémissements la réveillaient parfois, Jeanne avait vite voulu essayer a son tour, puis on c’était mis a le faire tout le deux, en ce caressant, se frottant ...
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