La reine Margo - 2
Datte: 01/01/2020,
Catégories:
Humour,
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... l’une contre l’autre sous les draps, se masturbant l’une et l’autre en se donnant de petits baisers. Nous étions des adolescentes maigres avec de tout petits seins à l’époque, tout comme ma nièce. Souvent on le faisait en parlant du gros vit de notre père et de ces couilles que l’on voyait valser souvent quand il sautait notre mère dans la maison, la grange ou les champs sans savoir qu’on les espionnait en souriant. On avait tellement hâte d’être de connaître ça avec de beaux garçons. Malheureusement les seuls beaux garçons du coin étaient deux de nos cousins a l’époque, de sacré vicieux boutonneux ceux-là qui nous avait fait perdre notre virginité dans un champ moi et ma sœur en même temps, épaule contre épaule a essayer en vain d’avoir du plaisir. Elle et moi on partageait tout depuis ce temps, amour et amant et nos secrets les plus intimes. A voir comment ça fille maintenant ce l’enfonçait profond et rapidement en se caressant les tétons de l’autre main, je compris que ma nièce avait peut-être perdu elle aussi sa virginité comme pour bien des filles de son âge. Au moins, elle était seule dans son lit, si ma sœur l’avait surprise avec un garçon, quel savon elle m’avait passé, car ma nièce était déjà promise à un jeune marchand ? Un grand mariage était prévu, ici au château, pour l’an prochain. Elle tenait le cierge juste avec le pouce et l’index en le faisait aller et venir rapidement, mais aussi en le tournant et la cire jaunâtre reluisait de déjection vaginale a la lueur ...
... de la lampe poser sur un coffre près du lit. J’en déduis que ce n’était pas une première pour elle, elle semblait même devenue très habile à se passer quelque chose dans la fente. Je savais trop bien ce qu’elle devait ressentir à ce moment. Mais a quoi ou a qui pensait-elle ? Qu’est-ce qui l’avait poussé à se masturber et se passer une chandelle dans le con ce soir ? A moi et aux soubrettes nues qui nous avaient lavés tout à l’heure dans le bain, a l’orgasme qu’elles m’avaient vue avoir en me faisant frotter le con avec une éponge, a sa mère en train de baiser avec un jeune soldat ou a un amoureux de son âge qui l’avait tripoté ou même baiser ? Elle se tortillait maintenant en se lamentant de plus en plus en se lâchant les seins pour se branler habilement en faisant des cercles sur son pubis à peine poilu sans cesser de se pistonner avec le cierge. Je me demandais si c’était sa mère ou une amie qui lui avait montré comment se donner du plaisir, ou si, comme moi et Jeanne, elle aimait espionner. J’eus la chair de poule malgré la chaleur en regardant Maria jouir finalement, le souffle couper, son jeune et beau visage déformer par le plaisir, les cuisses refermer. Trop mignon de la voir comme ça, bouche ouverte a se plaindre comme si elle souffrait terriblement la pauvre, les orteils encore plus croche que toute a l’heure. Mais soudain elle se redressa et s’agrippa le gros orteil du pied gauche à deux mains qui était resté toutes replier en disant ;-Outch ! Ayoye ! Maudit orteil ...