1. La mauvaise pente (4)


    Datte: 02/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de temps en temps - tout en s’assurant de votre parfaite discrétion, bien entendu - à ce que je vous prodigue ce genre de... enfin, de soins... vous pourriez finir par effacer ma dette... Disons, au bout d’un an ? Qu’en pensez-vous Louis...?" Déjà elle s’approchait comme une louve, prête à se jeter sur sa proie. — "Ecoutez", dis-je pour interrompre son approche, "sans que je veuille mettre en doute vos capacités ni la qualité de vos charmes, de votre jeunesse et de votre beauté, vous comprendrez aisément que 4000 € c’est une somme. Et je vais vous dire, si on se fie à ce que je sais des tarifs des call girls les plus belles et les plus réputées (désolé de faire cette comparaison triviale, Stéphanie, mais si on en est là, autant appeler un chat un chat), pour vous qui n’êtes pas une professionnelle, il va falloir vous donner du mal pour m’en donner pour 4000 €, n’est-ce pas...? — Euh... oui. — Aussi, si je laisse de côté la période où vous serez "indisponible" après votre accouchement, et si je suis d’accord pour une période d’un an, vous comprendrez que pour cette somme je ne vais pas pouvoir me contenter d’une petite pipe - même si vous êtes très douée - de temps en temps. Je vais me permettre d’avoir des exigences... — Oui, je comprends, Monsieur le Maire, vous pourrez user de moi de toutes les façons qu’il vous plaira, j’étais prête à vous l’accorder. Vous allez voir" me dit-elle en commençant à me tripoter le col, et sur un ton qu’elle voulait sensuel, "vous n’allez ...
    ... pas le regretter... — Je vous crois, Stéphanie. Mais pas ici, et pas maintenant. Gardez votre énergie, vos charmes et vos talents pour plus tard." Elle me regarda avec un air étonné. Elle savait bien que je n’étais pas un jeune mâle fougueux et pressé, mais elle commençait à se demander ce que j’avais prévu (parce qu’elle avait bien compris que j’avais déjà échafaudé quelque chose, et que j’y avais déjà réfléchi.) — "Ah bon, alors quand ? — Venez me revoir ici jeudi à la fin de ma permanence, que nous discutions des petites modalités. — Bon. D’accord..." Elle semblait soudain un peu dépitée, mais aussi inquiète. Je la sentais désireuse de poser des questions afin de lever le voile de mystère que je venais de faire naître, mais elle n’osa pas chercher à en savoir plus. Elle prit ses affaires et prit congé. " - Au revoir, Louis. A jeudi. — A jeudi." --- Le jeudi donc, elle se montra à l’heure convenue. A cette heure, en effet, j’avais fini de recevoir les rares administrés qui étaient venus me rencontrer, et le secrétaire de mairie était parti depuis plus d’une demi-heure. " - Entrez, Stéphanie, je vous en prie. Et fermez la porte derrière vous. La permanence est terminée." Elle s’exécuta. " Venez donc vous asseoir ici, à côté de moi, nous devons parler de ce que nous avions convenu. — Entendu, Monsieur le maire." Je la trouvai très en beauté, et elle avait l’air détendu. Elle portait un pantalon d’un tissu plutôt élastique qui moulait bien ses légères formes, des bottes - qui ...