Négociation
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... abricot, sa mouille coule à flots, son clitoris est maintenant rouge et brûlant, prêt à exploser de plaisir. J’insère un doigt dans sa fente, et je commence à la branler. Les gémissements s’accélèrent au rythme de mes doigts, de ma langue. Soudainement, comme arrivée au dernier palier, elle jouit. Un long cri retentit dans tout le bureau. Son clitoris se contracte en secousses, ses mains ne laissent plus bouger ma tête. Quelques instants passent où ma conquête reprend son souffle et desserre son emprise. Je me relève après avoir léché ses lèvres une dernière fois. Le soutien-gorge dégrafé, j’observe son collier d’argent accroché autour du cou entre deux magnifiques seins. Leurs extrémités pointent maintenant de plaisir vers moi. C’est une sacrée belle paire et je compte bien profiter de la situation. Je caresse le visage de Faustine et nous joignons encore nos lèvres. Le goût de bergamote dans ma bouche. De ma main droite, je descends mon boxer par terre. Je quitte ma veste, mon amante m’aide à défaire ma cravate et enlever cette chemise. Il faut être nu, il faut sentir nos corps ensemble, il faut sentir notre peau se frotter l’une à l’autre. Nous sommes maintenant un couple excité par le désir, l’envie de jouir. Nous allons faire l’amour. Ma maîtresse reprend ma bouche, m’embrasse de plus belle. Dénudés l’un et l’autre, mon vit dressé rentre en contact avec son clitoris gonflé, j’entends un gémissement de plaisir. — Je vais te baiser la chatte maintenant. Elle esquisse un ...
... sourire et écarte ses cuisses, son regard me supplie de la prendre. J’enfonce lentement mon sexe dur entre ses lèvres mouillées par le désir, Faustine écarquille les yeux « Oh putain », me prend par les épaules, encroise ses jambes dans mon dos. Elle est étroite, chaude, mouillée. Je sens son abricot se distendre pour laisser place à ma verge tendue de désir. Je bute enfin jusqu’au bout, jusqu’à la garde de mon dard. Quel plaisir, quel pied ! — Oh, putain ! Faustine ferme ses paupières, enfonce ses ongles manucurés dans mes omoplates, plie ses jambes plus fortement, ses talons s’écrasent dans le bas de mon dos. Nos corps n’ont jamais été aussi proches, aussi serrés. Je sens encore et toujours son parfum entêtant. Son corps est tendu à l’arrêt en attendant mes coups de boutoir. — Tu veux que je te baise ? Sa chatte, ses cuisses, tout son corps se contractent à ma question. Ses yeux clos, j’en profite pour admirer toute la puissance érotique du spectacle. Debout, je la pénètre, prêt à la ramoner, le visage encore trempé par la cyprine, le torse en sueur. Elle est assise sur la table à moitié nue avec ce corps de dingue. Son collier d’argent, la poitrine dénudée, la jupe relevée à la taille, les collants déchirés, ses jambes bottées croisées dans mon dos. Je ne sais toujours pas si c’est un piège et la direction que ça va prendre, mais putain, je vais me faire la veuve noire. Je veux profiter de ce moment. Prêt à démarrer, je commence à caresser ses magnifiques seins généreux. — ...