Négociation
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... Je n’ai pas entendu ta réponse. Tu veux que je te baise ? Son vagin se serre autour de mon dard et renforce mon excitation. Faustine dans un souffle : — Oui. Quel plaisir de l’entendre, mais je veux me venger et ma cliente doit être plus explicite — Je n’ai pas compris, dis-le-moi. Demande-le-moi. Mes doigts caressent cette superbe poitrine et effleurent de temps en temps son téton durci par le plaisir. Elle entrouvre enfin ses paupières, ses yeux en manque de sexe m’implorent de la baiser. — Baise-moi et fais-moi jouir, Pierre. C’était le signal attendu, j’active le va-et-vient. Faustine ferme à nouveau les yeux, j’entame la baise d’abord doucement. En savourant chaque mouvement, chaque poussée, chaque caresse. Aussi simple que ça, nous faisons simplement l’amour. Son corps et sa chatte se contractent à chaque butée. Ses mains caressent mon dos. Je profite de chaque instant. Je sens son ventre contre moi, ses seins généreux, sa peau chaude, son souffle brûlant. Nous sommes à l’unisson, au même rythme, dans le même désir et Faustine gémit à chaque fois que ma verge atteint les parois de son con. Après plusieurs allers-retours. J’accélère le rythme. Je vais maintenant la baiser, je vais maintenant la faire jouir. — Oh, putain ! Ma bouche attrape la sienne, nos langues se mélangent, je goûte encore une fois à ce délicieux parfum de bergamote, elle gémit, son abricot est trempé de mouille, son bas-ventre est si chaud. Elle s’allonge le dos contre la table, elle recule sous mes ...
... assauts, je monte dessus pour mieux la chevaucher. Baiser son client à gros seins dans son bureau, comme ça, c’est un vrai rêve éveillé de petit patron de boîte comme moi. Et le petit patron va la faire jouir avec sa grosse bite. Je souris à ma phrase cliché, mais la situation m’excite de plus en plus. Ma verge glisse dans son corps, de plus en plus vite. Faustine répète ses « putain ! » à chaque coup de bite. Je lui reprends la bouche, ma langue s’enfonce dans sa bouche. Je sens sa sueur, ses cheveux collés, il fait de plus en plus chaud, de plus en plus humide. Pas besoin de clim, on est sous les tropiques dans cette salle de réunion. Mes mains sur ses hanches, ses cuisses écartées. Je lui démonte la chatte et elle adore ça. Moi aussi. Je continue le ramonage de plus belle et à chaque fois que s’enfonce ma verge, Faustine pousse un gémissement de plus en fort. Des deux côtés l’orgasme est tout proche. Les ongles de Faustine s’enfoncent de plus en plus, je crois que mon dos saigne, mais je m’en fiche, car elle va jouir avant moi. Ou peut-être l’inverse. Je romps le baiser, elle ouvre les yeux et je me contracte, elle lance un cri, je jouis, elle jouit. — Oh putain ! je lâche à pleine voix. Nous reprenons tous les deux notre souffle petit à petit, elle me regarde comme si j’étais Brad Pitt ou le meilleur coup de sa vie ou les deux. Je ne suis pas en reste de mon côté, car elle est vraiment canon. Quel visage, quels yeux, quel sourire, quelle poitrine, quel sexe ! Je me couche ...