-
Barcelona
Datte: 02/01/2020, Catégories: fh, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, humilié(e), strip, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, donjon, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, piquepince, init, prudes, fsoumisah,
... rester concentré sur la route. Les seins de la jeune femme n’ont pas tardé à jaillir du décolleté pour s’offrir à la bouche gourmande des deux hommes, tandis que ses jambes largement écartées accueillaient leurs mains et leurs doigts, lancés à l’assaut de sa forteresse sans défense. Le chauffeur les a déposés devant le Tia Maria, refusant de se faire payer et demandant en échange le privilège d’embrasser leur excitante compagne. — Mais bien sûr, mon brave. Mais plutôt que sa bouche, que diriez-vous d’embrasser sa petite chatte ? Sofia, baisse donc ta petite culotte pour que monsieur puisse se payer de sa course. Sophie était bien trop excitée pour y trouver à redire. Elle n’en avait rien à faire de remonter sa robe et de baisser sa petite culotte au milieu du trottoir, tandis que les clients entraient et sortaient de l’établissement. Elle n’entendait pas leurs exclamations de surprise, leurs rires ou leurs sifflements. Tout ce qui lui importait c’était les sensations extraordinaires qui lui traversaient le corps tandis que le chauffeur lui dévorait la chatte avec gourmandise et que les boules de geisha reprenaient leur ballet infernal. — Bon, je crois qu’il en a eu assez pour sa course ! Si on y allait mes amis ? Avant d’entrer dans la boîte, Ramon a confié son petit caméscope à Luis en le chargeant de filmer la suite de leurs aventures. Puis, il a rattaché la laisse au collier de Sophie avant de lui demander de retirer sa petite culotte et de lui rendre les boules de ...
... geisha. La jeune femme s’est exécutée non sans ressentir un frisson d’angoisse à la perspective de se retrouver le cul à l’air sous cette robe minuscule qui s’arrêtait juste sous ses fesses. Comme elle s’y attendait, le Tia Maria n’était pas qu’un « petit bar ». C’était une boîte de strip-tease un peu sordide bien que fréquentée par une clientèle plutôt bourgeoise. Comme quelques heures auparavant, l’arrivée de Sophie n’est pas passée inaperçue, d’autant que sa petite séance buco-vaginale devant la boîte s’était répandue parmi les clients. Pas vraiment à l’aise, elle se serrait contre Ramon qui semblait connaître tout le monde et était visiblement un habitué de l’endroit. — Bienvenue au Tia Maria, perrita.— J’ai l’impression que ce n’est pas la première fois que vous venez.— J’y ai quelques amis en effet. Viens, je vais te les présenter. Sophie s’est laissée entraîner par Ramon et Luis qui fendaient la foule compacte des clients, sans se préoccuper de la jeune femme qui les suivaient au bout de la laisse. Ils se sont arrêtés devant un groupe d’une demi-douzaine de personnes assises au pied d’une scène où une jeune femme entièrement nue se trémoussait lascivement au rythme d’un air de musique soul. — Hola Ramon. Hola Luis.— Hola amigos. Je vous présente Sofia, une jeune perrita parisienne que son généreux mari m’a offerte pour vingt-quatre heures dans l’espoir que je parvienne à décoincer son petit cul bourgeois. Pas vrai ma perrita ? Sophie aurait dû en avoir l’habitude, depuis le ...