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Barcelona
Datte: 02/01/2020, Catégories: fh, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, humilié(e), strip, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, donjon, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, piquepince, init, prudes, fsoumisah,
... n’est que parce que Ramon est venu la serrer dans ses bras et dévorer sa bouche d’un baiser brûlant de passion que les mots sont restés bloqués dans sa gorge. Elle voulait qu’il soit fier d’elle et surtout qu’il continue à être son guide jusqu’au lendemain. Fernando, le maître de cérémonie, était un ami de Julia et de Ramon. Il avait à peu près l’âge de ce dernier et un peu la même allure. Il a accepté la proposition de Julia à la condition de pouvoir décider du moment où il conviendrait de déclarer un match nul. Il n’était pas question d’abîmer le corps de ces deux admirables créatures plus que nécessaire. Et lorsque le groupe des spectateurs s’est enfin écarté des deux jeunes femmes offertes dans leur éclatante nudité, le bourreau s’est mis à l’ouvrage. Après quelques claques plutôt anodines sur les fesses, les seins et le con des deux jeunes femmes, histoire de faire connaissance avec ses partenaires de jeu et de les mettre en condition, Fernando a décidé de décorer leur poitrine. Inutile de dire que Sophie n’avait jamais imaginé que l’on puisse placer de tels engins de torture sur ses tétons particulièrement sensibles et délicats. Malgré leur extrémité couverte de caoutchouc, les pinces mordaient cruellement les petits bouts de chair gorgés de sang, déclenchant d’abord un intense éclair électrique puis une longue brûlure. Celle-ci s’est brusquement accentuée lorsque Fernando y a accroché des poids de plus en plus lourds qu’il s’amusait à faire balancer pour étirer encore ...
... davantage les fragiles cylindres charnus. Sophie a d’abord crié, poussant de longs cris stridents lorsque les pinces s’étaient refermées sur chacun de ses tétons. Puis elle s’est contenté de gémir et de râler en se mordant les lèvres et en cherchant à trouver l’énergie et la résistance nécessaire dans le regard brillant de Ramon qui ne la quittait pas des yeux. Fernando s’est ensuite occupé de leur sexe, accrochant ses terribles mâchoires aux chairs délicates et brillantes de leurs petites lèvres avant mordre d’une dernière pince l’ergot brillant et gonflé d’excitation qui se dressait au-dessus de la plaie béante. À chaque morsure, Sophie entendait le mot « Basta ! » qui résonnait de plus en plus fort dans ses oreilles et à chaque fois le regard de Ramon l’aidait à serrer les dents et à ne laisser échapper qu’un long râle qui résonnait dans la grande salle. Les spectateurs applaudissaient Fernando autant que les deux adversaires, à chaque fois que le premier accrochait une nouvelle pince aux corps des deux jeunes femmes et que celles-ci acceptaient stoïquement leur cruel traitement en refusant de prononcer le « Basta » libérateur. Satisfait de l’effet esthétique de ses breloques accrochées aux seins et au sexe des deux femmes décorées comme deux sapins de Noël, Fernando s’est mis à leur attendrir le derrière à grand coups de palette. Moins que les brûlures intenses mais brèves provoquées par l’impact du disque de cuir sur la surface brillante de ses fesses, c’est la douleur ...