Barcelona
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
boitenuit,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
strip,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
donjon,
BDSM / Fétichisme
bougie,
fouetfesse,
piquepince,
init,
prudes,
fsoumisah,
... parlant, Fernando tournait autour des deux jeunes femmes, laissant ses mains glisser entre les chairs brillantes de leur con, jouant avec les pinces toujours accrochées aux nymphes et au délicat clitoris pour déclencher de nouvelles vagues de liqueur au cœur desquelles il venait tremper ses doigts. — Regardez mes amis, regardez comme elles jouissent nos petites perritas. Le vainqueur de ce duel sera ce soir le plus heureux des hommes… ou des femmes évidemment. Alors, mes belles vous être prêtes à reprendre la séance ? La question était purement rhétorique puisque seul le mot magique aurait permis aux jeunes femmes de mettre fin à cette deuxième épreuve. Et pour l’instant, ni l’une ni l’autre n’y semblait disposée. Elles se sont regardées durant une longue secondes en s’adressant un sourire complice. Même si elles étaient rivales, ce qu’elles étaient en train de vivre entravées côte à côte n’appartenait qu’à elles, et elles seules pouvaient connaître et partager les tourments et les plaisirs qu’elles étaient en train de ressentir. Sophie a poussé un petit « Aïe ! » de surprise lorsque les gouttes de cire chaude se sont mises à couler sur ses fesses brûlantes. Les micro-brûlures aussi intenses que brèves déclenchaient des éclairs électriques au centre de ses masses charnues et dans son corps tout entier. Ses fesses se contractaient dans un spasme nerveux à chaque fois que la cire brûlante venait mordre ses chairs, glissant le long de la fente de son cul jusqu’à s’écouler dans ...
... la petite cuvette fripée de son anus. Après en avoir fait de même avec le cul et le dos de Rosa, Fernando a poursuivi son traitement en maculant les seins, le ventre et le sexe glabre de ses deux prisonnières. La morsure de la cire sur les chairs délicates des tétons et des nymphes brillantes était autrement cruelle, et Sophie a dû se mordre les lèvres pour s’empêcher de crier « Basta » lorsque le liquide brûlant s’est écrasé sur le sommet de son clitoris. Mais elle a résisté, concentrant toute son attention sur les incessantes vagues de plaisir qui lui inondaient le con. — Bon, je crois que nous nous dirigeons tout droit vers un match nul messieurs dames. La badine sera notre juge de paix. Dix coups chacune que je vous invite à compter avec nous. L’image du cul de la jeune femme attachée au cheval d’arçon, zébré de profondes traces rouges et violacées, s’est affiché devant les yeux de Sophie. Soudain, elle n’était plus du tout sûre de vouloir ou de pouvoir résister jusqu’au bout. Mais lorsque le sifflement de la badine a retenti dans la salle, suivi presqu’instantanément d’une insupportable brûlure au milieu de ses fesses et d’un « Una ! » crié par les spectateurs enthousiastes, il était trop tard. Son dernier tourment venait de commencer et il fallait qu’elle soit capable de l’affronter jusqu’au bout. — Ocho !,… Nueve !,… y Diez ! Bravo ! Bravas ! Sophie n’entendait plus rien, elle était au bord de l’évanouissement lorsqu’elle a senti qu’on retirait ses pinces, déclenchant ...