1. Clémentine


    Datte: 17/09/2017, Catégories: fh, amour, revede, amourcach,

    ... toi…— Oui… tu as raison, deux années… Elles sont passées comme une flèche ! Si j’avais su, je t’aurais aguiché bien avant !— Oui… et j’aurais dû craquer définitivement bien avant et t’enlever sur le champ ! Elle pouffe, tout en lui frôlant la cuisse de ses ongles : — J’imagine bien le tableau d’ici ! N’empêche que…— Oui ?— N’empêche qu’on rattrape bien le temps perdu depuis ces deux ans, tu ne crois pas ? Euh… j’espère néanmoins qu’on n’a pas réveillé la petite !— T’inquiète ! Si elle était réveillée, on l’entendrait déjà d’ici. De plus, sa chambre est séparée de la nôtre par deux pièces. Alors, même si vous êtes bruyante, Madame, Mademoiselle votre fille n’entend rien !— Tu me reproches d’être dans le… démonstratif ?— Pas du tout ! C’est même très… flatteur pour ma virilité. Même si parfois au début, je me suis demandé si tu n’en rajoutais pas une couche, mais j’ai ensuite découvert que tu te lâchais vraiment à fond.— Jamais content, ces mâles !— Ah oui ?— Ah oui ! Il se redresse prestement, puis agilement se couche à moitié sur sa compagne : — Et bien, tu vas voir ça, femelle insatisfaite !— Pff, des promesses, toujours des promesses ! Elle n’a pas le temps d’en dire plus, il l’embrasse fougueusement. Elle sait qu’elle va vivre à nouveau ce merveilleux moment où elle s’abandonne sereinement et totalement à un homme, son homme. Oui, totalement… Le soleil filtre de plus en plus à travers les volets, la chambre est baignée de lumière. Deux corps en sueur, elle sur lui, la ...
    ... tête sur ses cuisses, les bras en croix. — Tu vois, Laura chérie, notre fille dort toujours !— C’est vrai qu’elle a regardé jusqu’au bout ce long dessin animé, malgré l’heure tardive !— Elle grandit, la petite chose, elle grandit…— Tiens, en parlant de grandir… Elle commence à taquiner de ses ongles le sexe repus de son homme. Bien qu’il ait déjà donné plus d’une fois ce matin, celui-ci commence à reprendre du poil de la bête. — Tu n’en as jamais assez, toi ! Tu es pire qu’une chatte en chaleur !— C’est ça, plains-toi ! Si tu n’es pas content, cède donc ta place à un autre ! Il y a des tas de mecs qui adoreraient être à ta place !— Ben voyons ! Comme si j’étais du style à partager !— C’est égoïste, ça, mon bon monsieur ! Et elle continue son petit manège ; elle adore le pouvoir qu’elle possède sur cette chose molle qui durcit peu à peu, irrésistiblement. Son Richard est proportionné de partout, et ce qu’il a entre les jambes n’est pas une mince affaire. D’ailleurs, la première fois qu’ils avaient fait l’amour, elle avait eu une certaine appréhension. Mais il s’y était pris avec tant de douceur qu’elle fut surprise de l’accueillir sans résistance en elle malgré le calibre. Depuis, elle raffole d’être ainsi comblée, remplie, envahie, parfois saturée, mais tellement heureuse. Doucement, la tige de chair s’érige, les veines se dessinent petit à petit sous la fine peau délicate, tandis que le gland sort de sa cachette. Lentement mais irrémédiablement, les doigts fins caressent ...
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