1. Clémentine


    Datte: 17/09/2017, Catégories: fh, amour, revede, amourcach,

    ... voluptueusement leur proie, celle-ci palpite délicatement. Un doigt plus taquin ou vicieux que les autres s’amuse à explorer la base du frein, soulignant les chauds reliefs. Puis d’autres ongles voraces impriment leurs marques sur la tige palpitante et tiède, cherchant à conquérir son volume, à tester sa résistance, sa consistance. Alors s’amorce un lent mouvement de va-et-vient, d’abord imperceptible, puis de plus en plus marqué, un déplacement fort, puissant, serré. À présent mouillé de salive, le doigt taquin caresse l’arrondi du gland, le lustrant, le polissant, délicatement, subtilement, tandis qu’un pouce câline sa base. Ludiquement, un ongle pervers s’amuse à entrouvrir le méat, comme pour aller l’explorer plus intimement encore. Ce petit jeu continue de longues secondes, très voluptueuses, puis une bouche chaude décide d’engloutir le sommet de cette tige de chair palpitante. Une langue soyeuse cajole sensuellement une cime arrondie, tandis que, plus bas, une main s’active encore plus, impérieuse, exigeante. Une dernière lècherie charnelle et sensuelle, un dernier long suçon vicieux et humide, une tige chauffée à blanc, puis le jaillissement final, une interminable délivrance dans un grand râle de plaisir étouffé. D’autres petites salves tièdes, des lèvres toujours soudées à cette tige qui frémit, frissonnante, un grand corps qui se relâche, une langue qui caresse toujours et encore, cueillant tout, récoltant les moindres parcelles, les moindres miettes, afin de tout ...
    ... prendre et de ne rien laisser… --ooOoo-— Laura prend sa fille sur ses genoux : — Euh… ehm, tu vois, maman, elle… enfin… elle…— Oui, maman ?— Je… tu… Richard intervient : — Ce qu’essaye de t’expliquer ta maman, ma petite Clé, c’est qu’elle va être à nouveau maman, et que tu vas avoir d’ici quelques mois une petite sœur ou un petit frère…— Une petite sœur ? La principale concernée, Laura, tente de reprendre la main : — Euh… oui… une petite sœur ou un petit frère, on ne sait pas encore… La fillette aborde un sourire radieux, puis d’un seul coup, elle s’assombrit : — Papa et maman m’aimeront toujours autant ? Lentement, le géant chauve s’agenouille puis courbe la tête pour être à la hauteur du visage de sa fille : — Pourquoi veux-tu que ça change ? Tu es notre fille et à ce titre, nous t’aimons.— Oui, mais, la petite sœur, vous allez l’aimer aussi, non ?— Bien sûr. Mais vois-tu, Clémentine, l’amour d’une maman et d’un papa, ce n’est pas comme un gâteau…— Un gâteau ?— Oui, on ne divise pas le gâteau en autant de part qu’il y a d’enfants, de frères ou de sœur. L’amour d’une maman et d’un papa est indivisible, il reste égal pour chaque enfant, quoiqu’il arrive. Il y aura toujours autant d’amour pour toi, rien que pour toi, que tu sois seule ou avec dix frères et sœurs…— Ah non, j’en veux pas dix, moi ! Le géant chauve rit de bon cœur : — T’inquiète pas, ma Clé, moi, non plus, j’en veux pas dix !— Tant mieux ! Richard capture la fillette dans ses larges mains, la décollant des genoux ...
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