1. Le temps d’un weekend et les suites imprévues.


    Datte: 03/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    LUI : Vendredi soir. Je vais te chercher à la descente du T.G.V. qui arrive vers 19h00. Pour une fois le train est à l’heure! Ayant conversé et échangé des photos sur la toile, je te retrouve facilement dans la foule. Il est vrai que tu ne passes pas inaperçue. Alors que tu es déjà relativement grande et élancée, tu es perchée sur des cuissardes avec des talons qui font au moins dix cm. Ta démarche ondulante et lascive attire le regard des hommes. Quant à moi, je suis totalement subjugué par ton allure générale! Jupe courte à mi cuisse, chemisier légèrement transparent qui laisse deviner ton soutien gorge, manteau de cuir ouvert, les pans retenus par la ceinture, tes longs cheveux châtains attachés en queue de cheval, tes beaux yeux gris illuminant ton doux visage ovale. Tu es resplendissante dans la plénitude de tes 40 ans. Tu portes un léger bagage dont je te débarrasse pour rejoindre la voiture. Nous avons encore une heure de route pour arriver chez moi. Je t’enlace et nous échangeons un baiser profond comme deux amants qui se retrouvent après une longue séparation. Que c’est bon de te tenir dans mes bras, de sentir ton corps qui se colle au mien au point que je sens ta poitrine opulente dans l’ouverture de ton manteau. Nous prenons la route et ton parfum envahit l’habitacle de la voiture. De temps à autre, mon regard court vers tes jambes gainées de cuir brillant et souple. Ta jupe est remontée et je pourrais, en me baissant un peu apercevoir ton string. Mais la route ...
    ... requiert toute mon attention. Ce n’est pas encore le moment de faire des folies. Je laisse simplement glisser ma main droite jusqu’à l’ouverture de tes cuisses (merci la boite automatique). Tu ne la repousses pas, au contraire, tu refermes le compas de tes cuisses et tu emprisonnes ma main dans la douce chaleur de ton intimité. Nous arrivons chez moi. Au cours de cette petite heure de trajet, nous avons parlé de ce qui fait notre vie quotidienne et nous avons aussi évoqué nos échanges sur la toile. Oui ! Il y en a eu de chauds ! Traversant la salle de séjour, je te conduis vers la chambre pour que tu y déposes tes affaires et passes aussi dans la salle de bains attenante pour te rafraîchir après le voyage. Pendant ce temps là, je mets rapidement au four et finis de préparer ce que nous allons manger. Le dessert est au réfrigérateur. Tout en mangeant nous devisons gaiment mais, je ne sais pas ce qui se passe, l’un et l’autre nous ressentons comme une sensation d’urgence! Oui, il y a urgence sans doute mais nous restons un petit moment à table, pour nous dévisager un peu plus l’un à l’autre. Achevé notre diner et, sans plus attendre, nous gagnons la chambre où le grand lit nous attend! Jusqu’ici tout s’est passé comme sur des roulettes, tellement le déclic entre nous est fort. Nous nous enlaçons et tout en nous embrassant, nous nous déshabillons mutuellement. Tu es rapidement nue entre mes bras: tu ne portes plus que tes cuissardes avec des bas auto-fixant, ton string et ton ...
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