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Le temps d’un weekend et les suites imprévues.
Datte: 03/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... sans nous désunir. Nous restons ainsi de longues minutes mais qui me semblent si courtes. Bientôt tu descends vers mon sexe et tu gobes mes couilles puis le gland. Tu entames une lente succion dans ta bouche chaude. Tu agites ta langue pour titiller le frein et bien faire monter la bandaison. Lorsque tu la trouves à ton goût, tu remontes vers moi non sans au passage placer ma bite entre tes jolis seins généreux où tu fais quelques va-et-vient. Finalement tu viens t’empaler en amazone sur mon sexe et tu commences une chevauchée sauvage. Tu te déchaines et par d’incessants mouvements alternatifs tu fais monter notre jouissance. J’ai devant les yeux tes seins qui se balancent doucement et sur ton visage j’aperçois un sourire extatique. Tu dois savourer autant que moi cette copulation. Je sens tes muscles intimes masser ma verge fichée au fond de ton sexe! Humm ! Que c’est bon! La délivrance commune est sur le point d’arriver, soudaine et violente. Je suis prêt à mélanger, encore une fois, mon foutre à ta cyprine lorsque ton portable sonne. Cette sonnerie me fait frémir, et je crains le pire. Tu ne me demandes pas pourquoi mon regard interpelle le tien sans oser bouger un seul muscle pendant que tu prends ton portable et appuies sur « talk » pour parler. J’attends deux minutes qui me semblent une éternité et puis quand tu raccroches, ton sourire me détend au point de me permettre de parler… : - C’était…? - Non ! C’était ma mère, donc fausse alarme ! Tu me réponds un sèchement, ...
... avant de partir aux toilettes. Lorsque tu reviens, remise de la surprise téléphonique, je n’ai pas encore débandé : Ma bite est toujours dressée comme le mat d’un bateau. Après avoir déposé quelques léchouilles sur le gland, d’un mouvement souple tu reviens me chevaucher. Tu allonges ton buste sur le mien. Tes seins généreux et doux sont pressés contre moi. J’entreprends des mouvements de plus en plus rapides dans ta chatte en ondulant du bassin et, une fois encore, je mélange généreusement mon foutre à ta cyprine au moment où la jouissance te foudroie. Tu t’allonges sur moi en blottissant ta tête au creux de mon épaule. Tu murmures doucement : - C’est bon ça… J’aimerais bien pouvoir vivre cela au grand jour… - Mais tu sais qu’on ne peut pas…tu sais… je suis mariée… - Ouais… Je ne trouve pas les mots justes pour continuer notre conversation. Moi aussi j’en ai marre de me cacher cette relation naissante, mais qui hélas ne nous conduira pas bien loin. Libre de toute attache, j’ai quand même près de 20 ans de plus… Nous nous couvrons avec le drap et, encore l’un dans l’autre, nous sombrons dans un sommeil réparateur. Le lendemain, nous nous réveillons pratiquement dans la même position, dans les bras l’un de l’autre, ton corps pressé contre le mien, nos jambes emmêlées. Je bande à moitié. Est-ce le désir que j’ai de toi qui se manifeste à nouveau ? Oui, je le crois et tu le sens, mais tu te fais un peu prier cette fois-ci : - Humm ! Que c’est tentant ! Tu te frottes contre moi et ...