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Le temps d’un weekend et les suites imprévues.
Datte: 03/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... sur le chat et les heures que nous venons de vivre. Pendant que la voiture roule je te convaincs d’ouvrir les vitres pour laisser entrer le soleil. En cette fin d’automne et sous le soleil, je te trouve belle ! Et je suis heureux de faire découvrir la région avec ses forêts plein de feuillages déjà mordorés à une femme charmante et sexy. Comme hier soir, je laisse glisser ma main droite de temps à autre entre tes cuisses pour te chatouiller la chatte. Tu n’as qu’un mini string ma belle coquine. Je sens la chaleur et la douceur humide au travers du fin tissu. Voilà on a trouvé un amusement seulement possible dans notre voiture, les attouchements coquins. Peu avant 19 heures nous arrivons à la maison. Enfin nous pouvons nous étreindre à l’abri des regards des gens honnêtes. Par-dessus nos vêtements nous nous caressons mutuellement. Je remonte ta jupe courte et je glisse ma main droite dans la raie de tes fesses, écartant la ficelle du string. De ton côté, d’une main, tu as réussi à ouvrir le zip de mon pantalon et tu caresses mon sexe par-dessus le slip et de l’autre tu t’es faufilée sous ma chemise pour venir agacer mes tétons du bout de tes ongles. J’aime ! Et je bande à nouveau. Tu te dégages de mes bras et me dis : - Mets-toi au lit, je dois passer à la salle de bain mais j’arrive tout de suite. Je me déshabille rapidement et je me glisse sous le drap où, totalement nue, tu me rejoins rapidement. Nous recommençons nos caresses et nos embrassades. Nos sens s’échauffent. ...
... Mon sexe est comme un pic qui se tend vers toi qui, te plaçant à genoux, le buste allongé entre tes bras. Je ne me fais pas prier. Je viens derrière toi et, oh, surprise, je découvre que tu as mis du gel dans l’entre fesse et dans ton anus. L’invitation est on ne peut plus claire et même si je ne suis pas un adepte de la sodomie, je sais répondre à une envie si aimablement proposée ! Je bande comme un cerf. Je me couvre rapidement et je travaille un peu ton trou plissé en faisant coulisser un doigt bien profond. Cela achève de nous échauffer. Je retire mon doigt et, d’une poussée prudente je pénètre l’entrée interdite. Elle s’ouvre si facilement que je sens que tu es préparée à cette pénétration. J’y glisse mon pénis très doucement. Que c’est bon. Mon sceptre de chair coulisse facilement dans ton antre serré. C’est chaud et je ne tarde pas à venir. Toi non plus, tu ne tardes pas à jouir. Nos mouvements désordonnés au moment de l’embrasement nous ont désunis et une dernière giclée de sperme finit au bas de tes reins dès que j’ai retiré le préservatif. Tu viens en récupérer une partie avec ta main et la porte à ta bouche pour me gouter. Il est largement 6 heures du matin lorsque le lendemain nous nous réveillons. Nous avons dormi comme des bienheureux, rassasiés de sexe et des sensations qui vont avec. Malheureusement, il nous reste à peine plus de trois heures à passer ensemble. Je dois te reconduire à la gare pour 9 h 30 au plus tard. Nous n’avons pas trop de temps, mais nous ...