1. Le temps d’un weekend et les suites imprévues.


    Datte: 03/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... dessous, je porte un string très réduit et un serre taille qui maintient les bas. Mes cheveux châtains sont noués en queue de cheval et je suis chaussée de mules à hauts talons. Je sais que cette tenue plait beaucoup ! Nous bavardons ainsi une bonne vingtaine de minutes. Je profite pour te mater dans le miroir qui se dresse sur l’un des murs, toi, un grand gaillard de bientôt 60 ans, brun aux cheveux gris déjà clairsemés et à la carrure d’athlète. Appuyé contre le dossier du fauteuil dans lequel je suis installée, tu glisses tes mains dans mon corsage pour aller caresser les pointes de mes seins puis, achevant de défaire les derniers boutons, tu le fais glisser pour l’enlever. Ma poitrine opulente, légèrement plongeante de femme dans la plénitude de ses 40 ans, s’offre généreusement à ta vue. Je sais bien que tu es amateur de ce genre de poitrine sensible aux caresses et stimulations diverses. J’aime bien aussi en fin de baise prendre un sexe sur le point d’exploser entre mes seins et en quelques mouvements de va-et-vient, recevoir une abondante giclée de sperme sur le bas du visage ou sur le haut de ma poitrine. Ce liquide chaud et visqueux me fait fantasmer au plus haut point… Je rêve encore un petit instant et tu me demandes : - T’as peur de lui ? - De qui… ah… de… lui, non je n’ai pas peur… T’en fais pas il ne se douterait jamais qu’on est là, si près de lui… Tu reprends les caresses sur mes seins et t’agenouilles devant moi. Tu relèves les pans de ma jupe et plonges ...
    ... dans la fourche de mes cuisses où je sens ton souffle chaud sur ma vulve. Je soulève mes fesses pour que tu fasses glisser mon string et redécouvres mon abricot tout lisse avec ses deux anneaux dorés. Je sens aussi les poils de ta barbe qui irritent doucement la bande de peau au dessus de mes bas. Je sens ta langue qui fouille les replis de l’entrée des délices en jouant avec mes petits anneaux et fait rouler mon clitoris entre tes lèvres puis le mordilles doucement. J’en frémis des pieds à la tête. Ensuite, complètement excité, tu fais glisser ma jupe. Je n’ai plus que mes bas et le serre taille sur moi. De nouveau un coup de cœur m’assaille et te dis : - Tu n’as pas de remords toi ? - Moi…je ne sais pas… Je suis libre ! J’essaye de ne pas y penser. Puis tu me prends par la main et m’allonges sur une table basse rembourrée tout exprès. Ta bouche ne cesse de mordiller mes seins, en aspirant mes tétons qui, sortis de l’aréole, sont déjà gros comme un pois chiche. Waouh ! Que c’est bon cette caresse. Tu ne portes qu’un pantalon ample, un boxer et un pull fin que tu enlèves très vite après ça. Ensuite, excité par la vue de mon corps offert et des caresses qui lui sont prodiguées, tu restes debout, ton pénis palpitant m’invitant à la débauche totale. Je me relève et m’agenouille sur le tapis. Tu ne te fais pas prier et t’approches un peu plus de moi. Je prends en bouche ton sexe d’une belle taille, court mais trapu et l’enfourne le plus loin possible pour l’enduire de salive. ...
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