1. Le temps d’un weekend et les suites imprévues.


    Datte: 03/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... weekend à l’automne dernier, j’ai du inventer des choses pour justifier mon déplacement sur le weekend. En fait, tu le sais, je travaille dans l’immobilier et j’ai profité d’un séminaire de deux jours à Paris où je m’étais inscrite sans y participer. Une amie complice (celle qui nous prête la maison) m’avait rassemblé la documentation et me l’avait remise à mon retour. Après toutes ces explications, je n’avais plus guère d’entrain. Ce n’était pas la première fois que j’avais des aventures similaires après avoir rencontré quelqu’un sur la toile. Mais là, je m’étais mise moi-même dans le pétrin : je m’étais laissée draguer sur internet par le frère de mon mari et je n’avais rien su jusqu’à ce soir du lien qui unissait les deux hommes. J’étais tombée dans un piège auquel mes habitudes libertines clandestines ne m’avaient pas préparées. Heureusement, tu as su me dérider en me racontant plein de blagues et en me câlinant doucement. J’étais véritablement désemparée. Même en étant libertine et ayant de gros besoins sexuels, j’aime mon mari qui a su en quelques années me donner une certaine stabilité. C’est grâce à lui que j’ai pu progresser dans mon milieu professionnel très machiste. Et toi, en deux rencontres, tu as su me combler au-delà de ce que j’aurais pu attendre d’une aventure comme celle que nous vivons. Je suis toujours sur tes genoux dans la cuisine de la maison de mon amie et complice. Il y a bien longtemps que le p’tit déj’ est terminé. Sous mes fesses, je sens une ...
    ... bosse qui grossit. C’est vrai que nous sommes très légèrement vêtus : toi un T-shirt et un boxer, moi, une nuisette un peu opaque et un string. Une de tes mains court le long de mon dos, vers le bas, toujours plus bas et l’autre frôle doucement la rondeur souple de mes seins. Je sens que tu as envie de moi et moi, j’ai cette sensation de poids derrière mon pubis qui arrive lorsque j’ai besoin de faire l’amour. Je me lève : - Viens ! Montons à l’étage ! Et tu m’entraines en me tenant par la main jusqu’à large divan où nous nous allongeons sur le côté, face à face. Tu me prends dans tes bras. Tu caresses mes cheveux défaits. Tu embrasses mes lèvres, le côté de mon cou, les lobes de mes oreilles en une multitude de petits baisers qui sont plus des effleurements. Nous avons envie l’un de l’autre, cela se sent mais cette douceur dans laquelle tu m’enveloppes devient pour moi une sorte de béatitude sereine où je me sens bien. Je réponds désormais à tes caresses et baisers. Par-dessus le T-shirt je griffe les bourgeons de tes seins d’une main et de l’autre, je descends vers ton pubis où je me plais à jouer avec ton pénis qui bande dur. Je l’englobe de ma main et après quelques va-et-vient, je fais glisser ton boxer puis mon string. La chaleur monte et ma libido bat à son plein, mon cœur palpite si vite que j’ai l’impression d’avoir un moteur de locomotive dans ma poitrine qui n’a rien à voir avec ta douceur et ta maitrise de toi-même, je ne te reconnais plus…mais j’aime bien cette ...
«12...8910...14»