1. Judith, mon amour


    Datte: 03/01/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, pénétratio, fsodo, init,

    ... parfaitement dessinées, des seins magnifiques. La femme dont on peut légitimement rêver, dont je rêvais. Judith était pieds nus. Elle s’était approchée de moi, en peignoir, fermé par une petite ceinture de tissu. Dans l’échancrure, on devinait la naissance de ses seins et le grain infiniment doux de sa peau. Je lui dis qu’elle était belle. Elle me répondit qu’elle me voulait. Je l’enlaçai à nouveau, la serrant contre moi de toutes mes forces, n’osant lui dire que je l’aimais. C’eut été inutile. Ce fut un baiser profond, long, qui commença dans la douceur et une profonde sensualité. J’avais l’impression que ses lèvres allaient me manger, tant elles se collaient à ma bouche et semblaient l’avaler. Mes mains se promenaient sur ses épaules, son dos, la cambrure de ses reins. À chaque caresse appuyée, elle réagissait par une ondulation du bassin. Notre excitation montait, devenait presque insupportable. Elle me dit tout à coup « viens », me prit par la main et m’entraîna vers sa chambre. Le grand lit était bien rangé, les volets fermés laissant passer une légère clarté. « Laisse-toi faire », me dit-elle. Debout à côté du lit, elle défit calmement ma cravate, les boutons de ma chemise, et me la retira. Puis, nous nous embrassâmes encore longtemps. Sa bouche était humide et délicieuse. Reprenant l’initiative, je m’assis au bord du lit, défis mes chaussures. Elle me releva, me disant de la laisser faire. Elle défit ma ceinture, baissa mon pantalon, que je retirai complètement. Se ...
    ... mettant à genoux, elle passa ses mains sur mon sexe à travers le tissu du sous-vêtement. Il était tendu à l’extrême. Elle le sortit délicatement, le caressa doucement, sur toute sa longueur, imprimant un mouvement de va-et-vient qui me fit pousser un gémissement. Sans prévenir, elle me prit dans sa bouche chaude et humide. J’enserrai son visage entre mes mains pour mieux la sentir. Sa langue courait sur mon gland, elle avala le membre durci jusqu’au fond de sa gorge, le faisant ressortir en partie avant de le reprendre à nouveau… Il ne fallait pas qu’elle continue longtemps… Je l’écartai et la relevai. Fébrilement, je défis la ceinture légère de son peignoir et dégageai ses épaules, le laissant tomber derrière elle. Elle apparut dans toute sa beauté. Ses seins étaient encore plus beaux que ce que j’aurais pu imaginer, gros, lourds, fermes, terminés par une pointe épaisse et noire. La toison de son sexe était abondante et soignée. C’est elle qui me poussa sur le lit. Elle semblait avide, pressée, elle avait besoin d’être prise, maintenant. Elle se mit sur le dos, écarta les cuisses, m’attira sur elle, et me demanda de la pénétrer, tout de suite, sans attendre. Le moment était merveilleux. La pénétration fut facile, tant elle était mouillée, bien que l’ouverture fut serrée, élastique. Son vagin me parut avaler mon sexe comme une ventouse, le massant en permanence. Nous restâmes quelques instants allongés l’un contre l’autre, sans bouger, tant le contact étroit de nos deux corps ...