1. L ami Jeannot


    Datte: 03/01/2020, Catégories: Mature, Partouze / Groupe

    ... possédant autant de garçonnières. Nous y baisions ensemble des fois deux, trois salopes avec des bières. Ce jour-là il me souffla que c’était un morceau de choix où je devrais me surpasser.J'étais à mille lieux de songer à madame la maire. Il y eût un quiproquo. Il faisait sombre dans la pièce. Madame avait commencé de sucer mon copain. Il lui avait faire boire une bière. Manifestement la tête lui tournait. Mi-ivre elle était en train de gueuler qu'il la lâchait maintenant pour ses vils trafics. Lui protestait et la consolait qu'un copain la sauterait en sa place et que celui-ci avait entre les jambes tout ce qu'il fallait. Maugréant elle regarda vaguement vers moi puis se coucha avec dépit sur le ventre. Jeannot vaguement rasséréné me souffla que je pouvais la sauter.Elle avait un cul magnifique. Aussi large que je l'avais pu espérer quand je la matais de derrière quand elle empruntait l'escalier de la mairie. Elle avait une façon innée de rouler des hanches et de rendre lascif son cul. Il était patent qu'elle devinait tous les regards de mâle convergeant vers cette partie précieuse de son anatomie. Elle devait spéculer que plus des trois quarts bandaient. J'avais été de ceux-là. je pouvais aujourd'hui me venger de cette humiliation d'avoir du me branler souvent dans les chiottes pour elle. Je défis lentement mon pantalon. J’avais la bite toute dure.Madame s'impatientait la tête dans l'oreiller. D'une voix sourde et sur un ton vulgaire elle dit : "Alors c'est pour demain ? ...
    ... " Je dus accélérer et procéder aux premiers gestes et caresses. Son gros cul frémit sous ma main. Il était puissant à la manière d'un fauve. Je percevais que dessous devaient rugir les chevaux d'un moteur. Sans vergogne j'enfonçais un puis, deux doigts dans cet anus qu'on avait manifestement défoncé souvent. Elle grogna. La garce se réjouissait que j'eus des vues sur son trou. Je décidais enfin de commencer à la pénétrer par-derrière.Elle trembla tel un vaste esquif. Je perçus un ronron de contentement. Ma bite lui devait convenir. Celle-ci n'était pas moins grosse et longue que celle de Jeannot. Nous avions bien souvent comparé. J'étais heureux dans sa chatte. Je n'avais jamais espéré une telle victoire. Je la chevauchais à présent, lui mordillant la nuque lui tirant ses longs cheveux noirs. Elle m’exhortait à la baiser plus fort et à la traiter en pute. Les insultes s'amoncelèrent au creux de son oreille. J'étais furieux du coup de me représenter tous les cochons qui l’avaient sauté.La lutte était au comble. J'eus la désagréable impression qu'elle menait la danse. Elle était insatiable. Elle ne dédaigna pas ma langue quand celle-ci s'enfonça dans sa bouche se mêlant à la sienne. Ainsi étais-je assuré de la posséder totalement. Mon pieu s'enfonçait dans les marécages de sa chatte. Elle jouissait sans frein. La garce prenait son pied. Jeannot m'avait assuré qu'elle avait une prédilection folle pour les bites noires. Je ne savais d'où lui venait pareil goût. Je songeais à son ...