Sélène
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
ascenseur,
volupté,
entreseins,
Oral
nopéné,
... féminité. Petit bouton que tour à tour, je frôle ou engloutis goulûment. Je presse ma langue contre elle, tout comme elle presse ma tête entre ses cuisses. L’un de mes doigts parcourt le sentier qui débute en haut de sa raie pour aller se perdre dans un jardin des plus secrets. Je visite cette caverne aux trésors rendue moite par les flammes du feu qui nous embrase tous deux. Un soupir crispé s’évade de la bouche de la muse. Je n’ai encore entendu sa voix que ses soupirs déjà m’inspirent une sensualité débordante. Ma langue se tend contre ce clitoris. J’appuie, je lape comme un chaton à qui l’on aurait donné son premier lait. Comme je vais et je viens au sommet de la zone érogène, elle gémit de plus en plus fort. Elle grogne. Je sens tous ses muscles se contracter, se raidir ses ongles bien agrippés à ma tête. Elle halète, nous arrivons au point culminant de cette caresse. Je la sens venir… l’explosion est imminente… elle va… Ding! La sonnette de l’ascenseur me tire de mon songe et m’avertit que nous sommes arrivés à destination. La porte, en s’ouvrant, éventre la cloison qui rendait cet instant si intime et me ramène à la réalité. La déesse brune est toujours là et toujours elle me sourit. Je me sens confus. Je n’ose plus bouger. Elle reste immobile. Elle est là, sourire aux lèvres. Je ne sais pas s’il est forcé, si elle a une paralysie faciale, ou si je lui plais, mais ce sourire me met mal à l’aise. La lumière s’éteint. Que faire ? Je n’ai pas le temps de trouver une ...
... réponse à cette question que déjà je la sens tout contre moi. Elle a endossé le rôle que je tenais dans mon fantasme. Tout comme dans celui-ci, on s’embrasse passionnément, mais c’est elle qui tient mes fesses entre ses mains. Moi, je ne bouge pas, je suis tétanisé. Elle pose une main sur ce qui gonfle maintenant entre mes jambes. Elle caresse mon pantalon, presse aussi fort qu’elle le peut. Je suis à l’étroit. Ma queue est devenue claustrophobe dans ce pantalon trop serré. Mais déjà j’entends mon ange venir à la rescousse, au son du zip de ma fermeture éclair. Elle extrait la victime de son carcan de coton et l’enveloppe de la douceur de ses mains comme un objet fragile et sacré à la fois. Son index tourne autour de mon gland, puis du frein descend en une caresse jusqu’à mes testicules dont elle s’empare d’une pleine main, mais sans trop les presser. Elle s’agenouille et saisit tout mon désir concentré pour l’amener dans sa bouche. Je reste immobile. Le temps s’est arrêté. Je flotte. Je suis submergé par une chaleur insoutenable et pourtant si délicieuse. Je rêve ? Tout comme le chante Calogero, je suis « en apesanteur ». Ces lèvres si douces qui dans mon délire onirique avalaient ma langue sont maintenant là, pour de vrai, dans le noir de cet ascenseur, en train de me gober. Cette fille va m’aspirer et je vais disparaître tout entier dans sa bouche, ne faire plus qu’un avec son corps. Nos deux êtres liés jusqu’au plus profond des sens. Elle entame une caresse comme jamais je ...