1. Coquillages et doigts de pieds (2)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Toujours nues, maman et moi entrâmes dans la maison et gravîmes les escaliers qui menaient à sa chambre. J’étais juste derrière elle et mes regards étaient rivés sur son cul. Les globes charnus, joliment dessinés et d’un blanc laiteux tressautaient entre chaque marche. Un fin duvet brun tapissait le haut de sa raie des fesses et j’imaginais que la vallée qui se cachait encore à mes regards devait être aussi poilue que son pubis. Lorsque nous franchîmes la porte de sa chambre, ma mère se tourna vers moi et me prit par la main pour m’attirer à elle. Contre moi, son corps était brûlant tant sous l’effet des rayons du soleil auxquels nous nous étions abandonnées que de l’excitation qui nous enflammait. Elle plaqua ses mains sur mes fesses pour me coller encore plus à elle et posa sa bouche sur la mienne. Nos lèvres s’entrouvrirent et nos langues entamèrent un ballet subtil. J’avais saisi ses seins à pleines mains et je soupesais les deux outres qui m’avaient nourri durant les premiers mois de mon existence. Elles étaient encore incroyablement fermes et les tétons qui pointaient aux extrémités témoignaient de l’excitation de ma mère. Cette dernière m’entraîna d’ailleurs vers le lit où elle m’allongea, cuisses largement écartées. Tout en parcourant mon corps de ses doigts, elle contemplait ma fente imberbe et je voyais sa bouche frémir. Elle se pencha au-dessus de moi et ses lèvres se posèrent dans mon cou, sur mes seins, sur mon ventre. Une mouille abondante s’écoulait de ma ...
    ... chatte délaissée depuis trop longtemps et inconsciemment, j’arquais mes hanches impatientes en direction de sa bouche. Mais ma mère avait visiblement décidé de prendre son temps et ses lèvres remontèrent sur mes hanches. Ses mains les agrippèrent pour me forcer à mes retourner et lui présenter la partie postérieure de mon anatomie. Sa bouche et sa langue entamèrent un nouveau ballet entre mes omoplates puis entre mes reins avant de descendre encore un peu. Se redressant légèrement, elle saisit mes fesses à pleines mains et les écarta. Une délicieuse chair de poule me parcourut le corps. Ma mère devait avoir une vue imprenable sur l’étoile mauve de mon anus et l’idée qu’elle contemplait la partie la plus intime de mon corps provoqua un nouveau flot de mouille qui macula l’intérieur de mes cuisses. Je crois que si j’avais posé le doigt sur mon clitoris à cet instant précis, l’orgasme m’aurait cloué sur place en quelques secondes. Mais la vicieuse me remit sur le dos et cette fois-ci, s’installa à califourchon et tête-bêche au-dessus de moi. De ses coudes, elle fit remonter mes cuisses très haut et sa bouche se trouva à quelques centimètres de ma chatte et de mon trou du cul. En même temps, elle approcha ses hanches de ma tête et j’eus sous les yeux un fascinant spectacle. Son vagin était encore béant du traitement que je lui avais fait subir au bord de la piscine. Son sexe ressemblait à un coquillage obscène qui dégageait un lourd parfum d’iode. Je me remémorais ce qu’elle m’avait ...
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