1. Coquillages et doigts de pieds (2)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... dit à propos de ses poils et je confirmais en silence l’appréciation de mon père. Les lèvres étaient épaisses et charnues ; elles se rejoignaient autour du clitoris gonflé. A l’arrière, sa raie du cul était telle que je l’avais imaginée. Des poils en tapissaient les bords, jusqu’au pourtour de l’anus étrangement boursouflé. Ce spectacle me donnait une irrésistible faim et sans plus attendre, je collai ma bouche à ce fruit défendu. Ma langue s’enfouit dans les replis juteux de sa chatte et se régala de la mouille épaisse que ma mère sécrétait en abondance. J’allais du clitoris au vagin dans lequel j’enfonçais ma langue le plus profondément possible. Mon nez vrillé sur la pastille sombre de son anus s’étourdissait des arômes lourds du cul maternel. Lorsque ma mère à son tour aspira mon clitoris entre ses lèvres, j’eus un hoquet et je poussai un long cri pour libérer l’orgasme qui me tenaillait le ventre. Encouragée par ce premier succès, ma mère lapa ma chatte sur toute sa longueur tandis que ses mains malaxaient mes fesses. Sa langue me fouillait en même temps que je m’ouvrais et j’avançais mes hanches vers sa bouche vorace pour l’encourager. Plongeant la tête encore plus avant, elle alla recueillir les sucs qui avaient barbouillé mon anus. J’étais aux anges et une seconde vague de jouissance creusa mes reins au moment où sa langue franchit la barrière serrée de mes sphincters. Elle dansait littéralement à l’intérieur de mon cul et je dois le reconnaître, avec beaucoup ...
    ... plus de talent que tous mes précédents partenaires. Je décidais d’appliquer à l’égard de ma mère, les leçons qu’elle m’inculquait et ma bouche se colla comme une petite ventouse à son anneau culier. Ma langue darda et se fraya sans problème un chemin à l’intérieur du rectum de ma mère. Une telle facilité m’indiqua qu’elle n’était pas étrangère aux plaisirs de Sodome, ce qu’elle me confirma en couinant de plaisir et en écrasant ses fesses sur mon visage. L’orgasme ne tarda pas à nous atteindre et nos cris se mélangèrent dans une cacophonie de « oh » et de « ah »… Les sens apaisés et dans les bras l’une de l’autre, nous prîmes enfin le temps de nous parler : — « Qu’est-ce qui nous est arrivé maman ? — Je ne sais pas… La chaleur sans doute… Tu n’as pas aimé ? — Au contraire ! C’était bien meilleur qu’avec les copines du lycée ! — Ah ! C’est vrai que dans les dortoirs… Moi-même quand j’étais en pension… Mais dis-moi, tu vas aussi avec des garçons ? — Bien sûr maman ! D’ailleurs, il va falloir que je me trouve un petit copain pour les vacances. — Mais tu vas me rendre jalouse ! rétorqua ma mère en riant. Attends, tu veux du mâle ? Et bien tu vas en avoir ! » Se penchant vers la table de nuit, elle ouvrit le tiroir et en sortit un godemiché de belles dimensions. Il faisait presque 25 centimètres et sous le gland du diamètre d’une prune, la hampe était striée de veines très réalistes. — « Je te présente Raoul ! Toujours présent pour s’occuper d’une chatte ou d’un cul ! » Ma mère se ...